Deux jours avant la soirée, je reçu un ordre de Ma divine
Maîtresse : « Être habillé dans une tenue féminine ».
Je me débrouillais pour trouver ces habits me faisant défaut
mais pu tel le lévrier sur le champ de course trouver mes trésors.
Toute fière comme la petite écolière qui venait d’avoir
un bon point, je me prépare durant ce doux après-midi. Durant tout
l’après-midi je sentis une angoisse de pucelle m’envahir, c’est
ma première participation à un événement d'une Amie de Maîtresse.
Et en même temps, je sentis l’excitation d’être le jouet du
plaisir de Ma Maîtresse.
Durant mon trajet, je revivais mes premières séances avec
Maîtresse, au point de sentir mon clito se gonfler, se comprimer
dans mes lèvres scellées.
L’arrivée au club fut retardé
par un souci de logistique, cela me frustre. je suis si
impatiente de revêtir mes affaires de petite pucelle devant
Maîtresse. Le temps de cette attente dans le café à vos côtés me
parut long. Maîtresse Leia prit la parole et propose un tour
de table pour une présentation.
Lorsque vint mon tour, je me mis à bafouiller tel un bébé
apprenant à parler. Ma timidité naturelle fit son apparition, je me
suis sentis nu devant ces Maîtresses et Amies de Ma Maitresse.
Vous prenez la parole, de vos mots, je me vis soulagé
pou un court instant. Vous venez de me présenter comme une chose, un
objet à façonner. Je m’imagine être de la glaise à modeler au
moment de vos mots, mes lèvres firent un sourire mais je me suis
sentis humilié avec un serrement au cœur de bonheur.
Nous
apprîmes que le club allait ouvrir ses portes, la meute que nous
étions,c’est mise en ordre de marche vers ce lieux de perversité
et de torturés consentis pour le plaisir des désirs de tous.
Durant ce court trajet, j’ai l’honneur d’être la
porteuse des affaires de Maîtresse. Dans le club, j’ai cru me
transformer en sardine, tout le monde étant rentré dans le même
temps pour éviter d’avoir trop froid. Lors de mon passage à
l’accueil, je m’acquitte du droit d’entrée de Maîtresse et du
mien.
Puis je me glisse dans la pièce à côté ou d’autres soumis se
changent. Retirant mon pantalon, je laisse enfin la femelle être
libre de cet habit d’apparat qu’était ce jean d’homme. Apparu
mon shorty et mon porte-jarretelle mauve assorti, mes bas retenu par
les jarretelles, mon petit chemisier légèrement transparent
laissant deviner mon soutien-gorge, d’une grande légèreté, je
saute dans ma jupe à paillette. Me sentant prête à exécuter tous
vos ordres, Maîtresse. Mon clito enfermé dans son tucking me
titille grandement. Je me crus une jeune pucelle découvrant le
premier rendez-vous. Ce fut aussi l’excitation de ma première
sorti« privée » dans cette tenue.
Je descends
l’escalier allant à la cave pour recherche une place éventuelle
pour vous, Maîtresse.
Vous posez vos divines fesses sur ce canapé
près de la porte de l’escalier en colimaçon. Vous suivant,
m’apprêtant à m’asseoir sur un pouf, vous m’ordonnez d’un
regard d’aigle, de paroles tranchantes tel un rasoir :
« tu crois quoi la ». Votre doigt m’indique ma
véritable place de chienne, à votre pied. Regard baisé, peu
fier, sur mes genoux, j’attends vos ordres.
Me sentant femelle, je me sentis aussi un peu gêner par le
fait peut-être de m première apparition en femelle. Soudain
je vous vis sortir un objet, une queue orange de votre sac. Vous
m’ordonnez de la mettre de suite. A ce moment précis,
j’ai cru devenir une nouvelle Firefox en jupette.
Me battant un peu avec ma queue pour la fixer, ressemblant au
chien qui essaye d’attraper sa queue. Maîtresse Ortica me
pose une question. A laquelle je réponds si spontanément que
vous me rappelez à l’ordre en me rappelant mon rang de jeune
soumise travesti. Honteusement, je me remis sur mes genoux à vos
pieds.
A ce moment, vous attrapez un collier, vous me le passez
autour de mon coup. Je fis envahi par deux émotions, la première
fut une immense joie de reconnaissance. La seconde, une peur de ne
pas être à la hauteur de l’assemblée présente. M’étant
un peu perdu, je repris mes esprits lorsque je vis un nœud de corde
rouge arrivé dans mains avec votre ordre : « Allez dénoue
moi cela. » Assise sur mes genoux,j’exécute cette tâche
avec un grand acharnement pendant que vous discutez de paddles avec
la maîtresse assise à votre droite. Une fois la corde dénouée, je
vous la présente repliée avec attention dans les paumes de mes
mains, les yeux baissés.
Comme toute sissy qui doit honorer sa maîtresse lors
d’un travail finit. Ces premiers instants furent pour moi intenses
étant habillé dans ma première tenue en public et pour vous
Maîtresse.
La première fois que vous me demandez d’être une femelle
en dehors de mon habitat traditionnel.
A ce moment, vous
m’ordonnez de me tourner, dos à vous. Vous saisissez mes mains
pour ensuite les bonder dans mon dos avec une contrainte passant par
mon torse.
Ensuite, vous me placez ma tête contre le canapé,
croupe en l’air. Après une premier salve de coups, Vous me
reculez au bord du canapé pour me permettre de mieux vous présentez
ma croupe en me cambrant comme une bonne femelle. Sentant la chaleur
des coups m’envahir,je savoure chaque contact sur ma peau. Puis
vous me redressez de votre main. Je sens une corde passer au-dessus
de mon collier. Une certaine peur m’envahit lorsque vous
commencez à tendre la corde pendant que je sens vos coups sur mes
fesses devenir plus intenses. Pour accentuer mes
sensations,vous m’ordonnez de me cambrer. Mon esprit volage,
j’apprécie cette nouvelle expérience. Mon esprit navigue entre la
tension de la corde et les coups que mon fessier reçoit. Mais un
grain de sable se glisse dans cette magnifique scène mon genoux
droit glisse doucement un glaçon qui fond sous une lampe. Une
pensée d’amertume me submerge pendant vos coups, la glissade du
genou qui continue, je n’arrive pas à la contrôler.
Ne tenant plus, je tombe sur mon genou, Vous me faites la
morale car j’aurai pu me mettre en danger. Vous me rappelez les
règles de sécurité d’un ton sévère et sérieux.
Baissant le regard, je me sentis mal intérieurement. Vous me
laissez, pour aller voir vos amies au fumoir et voir ce qui se passe
dans les autres salles.
Toujours avec la contrainte de mes cordes, je reste la
gardienne de vos affaires. Durant ce moment de réflexion, ma
sensation est d’une grande frustration d’avoir arrêté vos
Plaisirs.
Durant votre absence, j’ai été la spectatrice d’une
séance de torture de maîtresse Ortica sur soumise ericka. Puis
ensuite je vous vois venir passant devant moi vérifier que j’allais
bien.Vous prenez votre sac pour vous occuper d’un autre
soumis .
Frustré comme une taupe ne vois pas le bout de son nez,
J’essaie de suivre ce que vous lui faites subir malheureusement
l’assistance ne me permet de voir que la scène en parcimonie.
Maîtresse Leia m’ordonne de venir vers elle afin qu’elle
me libère de mes contraintes de cordes. En partie détaché, elle me
laisse les poignées ligotées,je me retrouvai avec le bout de la
corde dans la bouche. Maîtresse Leia m’ordonnant de vous
rejoindre. Je me suis cru votre petite chienne tenant sa propre
laisse pour se promener.
je me place à vos cotés sans m’apercevoir que j’obstruai
la vue d’une maîtresse qui savoure le spectacle que vous lui
fournissez. Sentant un pied passant entre mes jambes, il a fallu
votre intervention pour voir ma faute. Malgré mes yeux baissés,
Vous me mettez à quatre devant cette maîtresse auquel j’étais a
ses soin. Je compris ma faute mais tardivement, cette maîtresse se
servit de moi comme un tabouret pour ses pieds mais aussi m’appliquer
une punition pour l’offense que je lui ai faite. Elle me détacha
pour me rendre à ma Maîtresse. Pour vous aider, je replie la cordes
et me mis à genoux en vous sentant dans mes mains la corde nouée
pour être ranger.Les yeux vers le sol j’attends paisiblement.
Vous me dirigez avec votre ami Maîtresse Lou dans la salle
de jeu ou se trouve une croix de saint André et un prie-Dieu pour
une initiation au fouet. Maîtresse vous savez que je ne
connais pas la caresse de cet instrument. Aujourd’hui ce serait
donc un nouveau pas vers une nouvelle expérience, elles se
mirent autour de moi comme des louves chassent leurs proies, me
lançant quelques des réflexions et pique qui laisser apparaître un
peu plus Liloo. Vous m’ordonniez de me déshabillez afin de ne pas
abîmer mes vêtements. Étant un peu désarçonnée dans mes gestes,
vous me taquinez avec Maîtresse Lou sur mes gestes. Je me retrouve
par la suite sur le prie-Dieu mes fesses bien en présentation aux
deux maîtresses.
Intérieurement honteuse dans cette position, Ma croupe bien
tendue, ma tête sur le cuir du banc, je vois que vous prenez
place au bout du banc.Votre présence eut un réconfort inattendu.
Vous me faites placer mes mains sur vos cuisses, ma tête entre vos
jambes. Je sentis en moi une pression nouvelle, celle d’être
la hauteur de votre collier. C’est le premier jeu que je fais avec
une de vos amies, je me dis que je ne peux pas défaillir. Je dois
tenir mon rang de sissy et subir cette épreuve. Les premiers coups
fut avec des martinets, des paddles, puis vient ledit « objet »,
le premier fouet. Vous me rassurez en me promulguant de grand et
judicieux conseils. Mon étonnement ne vient pas de la première
caresse du fouet mais du claquage dans le vent que j’entendis.
A l’esprit pendant ces salves novatrices, je ne cesse de penser
qu’il m’est impossible de ne pas honorer Ma Maîtresse.
Celle qui a vu en moi, un potentiel endormi, a qui j’ai demandé de
m’honorer à m’aider à l’exploiter. Maîtresse vous avez ce
don de fermeté et de douceur, une main de fer dans un gants de
velours.
Maîtresse Lou, et vous-même me signala le changement de
fouet par un plus récent, un neuf.
Je sentis la différence au
premier claquage sur ma peau. Plus vif, plus courte fus ma première
pensée, je continue d’encaissé. Voulant connaître ma limite, je
me dois d être la sissy que j’imagine.
Malgré quelques
coups trop hauts, je me perds dans cette douleur vive et douce.
Pour finir Maîtresse Lou m’ordonne de compter les 10 prochains
coups, les coups de Maîtresse Lou sont monté crescendo en force. Au
moment, je me suis senti comme une esclave noir sur la grande place
du village en train de subir une punition publique. Le 8eme coup
arrive, ma bouche ouvre et le chiffre 9 en sorti. Puis le
chiffre 10, alors que je souhaitais donner le safeword .
Je ne me sentis ailleurs, par la douleur, je l’affectionne
cette douleur,douce, vive sur le moment mais lancinante après.
Maîtresse Lou me félicita et me dit que je n’étais pas une
lopette en fin de compte. Je fais un grand sourire,. Une grande
fierté m’envahit de bonheur, j’ai atteint mon objectif ne pas
défaillir devant ma Maîtresse et son amie Maîtresse Lou. Je
pris les mots de ses Maîtresses comme des compliments et un
soulagement. Une autre frustration apparu, mon estomac s’est rentré
durant cette séance au point que je cru qu’il avait épousé le
coin du prie-dieu. Écoutant Ma Maîtresse me parler, je me détends
puis j’essaye de me lever doucement.
Allant au bar pour me
rafraîchir et me remettre de toutes ses émotions fortes,je n’y
trouve personne.
D’un fier pas, je monte à l’accueil pour
trouver une personne de l’équipe du bar. A chaque pas, mon
porte-jarretelle frotte sur mes fesses chaudes me fessant ressentir
les dix derniers coups de ce magnifique fouet que Maîtresse Lou
avait baptisé sur ma peau.
Passant devant le fumoir, Maîtresse Leia me regarde et me dit
« tiens-toi »
Fier de mon état, comme une chienne en rut, je me pressais de
montrer ma croupe rougis pensant anticipé une future demande. Quelle
erreur de ma part, maîtresse Leia me réprimande tout de suite et
m’humilie devant le couple avec lequel elle discutait. Mes yeux
tournés vers le sol comme une petite fille grondée, j’expose mes
fesses devant Maîtresse Leia sous son ordre. Je sentis une
chaleur plus vive et plus courte sur mes fesses. Maîtresse Leia
m’écrase sa cigarette à plusieurs reprises sur mes fesses comme
punition. Je la mérite par l’arrogance de mon insolence
précédente. Mon cœur se remplit de honte car j’ai failli à la
bonne imagine de la sissy que je veux être. Par conséquent, j’ai
aussi failli à la bonne image de Maîtresse.
Maîtresse Leia m’ordonne de lui libérer le passage sur un
ton autoritaire que l’on donne a un domestique maladroit. Remontant
mes dessous, je m’exécute honteuse.
Ce fut un moment
de tristesse qui m’envahit lorsque j’ai dû partir retourné chez
moi.
Je tiens à remercier l’équipe de la soirée « le
Boudoir de Leia » , j’ai passé un moment agréable,j’ai
fait la connaissance de personnes que je trouve hors du commun comme
Maîtresse Leia et sa moitié.
Je souhaite aussi remercier
Maîtresse Lou Van Lyck pour cette initiation marquante
pour l’art du fouet.
A Maîtresse Leia pour cette
punition qui m’a fait découvrir une sensation inconnu jusqu’à
la.
La dévouée Liloo Sissy , soumise de Maîtresse Ô du
Moulin.