mardi 30 avril 2013

Les escarpins de Liloo

J’arrive à la boutique Métamorphose. Je vois la porte s’ouvrir, une cliente sort.
Avec un grand sourire, je dis : «  Je prends le relais ».
 

Le vendeur me regarde et me rend mon sourire. Nous avons au comptoir, je lui demande s’il est bien Jean-Pierre.  Il me confirme qu’il est bien Jean-Pierre. Je lui donne ensuite votre « Bonjour » suivant vos ordres. Il fait un grand sourire en prenant de vos nouvelles. Je lui réponds que vous allez très bien  puis je lui dis que j’avais appelé deux jours plutôt lors de la mise en ligne de l’information sur la foire aux chaussures. Nous avons rigolé de cet appel.
 

Puis je descends au sous-sol pour retrouver Martine qui finissait de renseigner d’un couple de clients.
Je lui donne votre « bonjour ». Martine prends de vos nouvelles. Je lui explique que vous allez bien puis je lui explique la raison de ma venue. L’achat de mes premières chaussures de travestis.
 

Alors Martine me dirige vers le rayon chaussures,  elle m’écoute pour mieux cerner mon besoin et mon envie ;  Elle me montre une première paire avec des talons de 6 centimètre et me dit «  ca fait grand-mère » puis me présente des escarpins talons aiguilles  en brillant.  Je les trouve magnifique mais j’hésite un peu. 

Martine m’indique qu’elle a aussi ses escarpins en mat.  Alors je lui dis que je souhaite essaye les escarpins mat. Le choix des chaussures mat est aussi pour sortir dans la rue avec maitresse ou même seule plus tard.

J’essaye les escarpins à ma taille d’homme soit du  44, je retire mes chaussures et mes chaussettes qui laissent apparaitre mon collant.  Martine me tend en même temps des chaussettes.  En souriant, je lui des que je porte tous les jours un collant. Je mis le premier escarpin. Stupeur, je peux mettre deux doigts entre mon pied et le talon de la chaussure. Martine me ramène une autre pointure, je les mets à mes pieds. Et le miracle fut.
Je me lève pour fait quelques pas. Et la, je découvre un autre point de vue, je me sens pas l’aise les premières secondes puis je me sens envahir par une satisfaction énorme. Je viens enfin d’acquérir les chaussures qui font que je me sens enfin  une liloo complète.
Je demande à Martine si elle veut bien me prendre en photo en tenue de liloo ,en lui disant que les photos étaient pour vous. 


Martine prend trois photos,  Elle me dirige pour prendre les photos, Une devant un miroir, une autre sur le fauteuil en osier puis la dernière devant la cage.
Ensuite je me rhabille puis je monte à la caisse pour régler.


Durant le paiement nous discutons un peu de tout dont jean –pierre me montre les produit OVO.  J’avoue que ces vibros certains me ferai bien envie, ils sont vraiment très doux.

Puis je quitte la boutique avec mes escarpins dans le sac a dos.

Je tiens a remercié Martine  et Jean-Pierre pour leurs accueils agréable et


leurs conseils pour mon achat.

lundi 29 avril 2013

Contrat entre B et O du Moulin




CONTRAT
DE DOMINATION – SOUMISSION

Entre :Ō Du Moulin et B


OBJECTIF

Le but de ce contrat est d'instituer une relation de Maitresse à Esclave entre Ō Du Moulin et B

Ō Du Moulin s'engage à faire de B son esclave ; B s'engage à se soumettre à sa Maitresse. Ce contrat engage totalement l'esclave qui appartiendra dès la signature à Maitresse. L'esclave renonce par ce contrat à toute relation avec une autre dominatrice, sauf ordre donné par Maitresse.

Maitresse, en revanche, reste libre de toute relation avec toutes autres personnes de son choix, esclaves ou non.

DISPOSITIONS & ENGAGEMENTS

Disponibilité

L'esclave s'engage à informer sa Maîtresse des contraintes professionnelles qui sont les siennes.
Tout le temps libre de l'esclave est considéré comme potentiellement disponible pour Maîtresse.
L'esclave doit solliciter l'autorisation de Maitresse avant de prendre des engagements sur son temps libre (musique, famille...).

Mise à disposition

Par le présent contrat, l'esclave met son corps à disposition de sa Maitresse.
La Maitresse s'engage à utiliser tous les moyens (frustration, punition, humiliation) pour dresser B et en faire un esclave digne de sa Maitresse et des fréquentations de sa Maitresse afin que celle-ci sous toujours fière de son objet soumis dans toutes les situations.
L'esclave adoptera toujours une attitude humble et respectueuse envers sa Maitresse.
L'esclave s'engage à toujours obéir aux ordres de Maitresse au mieux de ses possibilités.
L'esclave s'efforcera de surmonter les sentiments ou inhibitions qui l'empêcheraient de servir au mieux Maitresse ou freineraient son épanouissement comme soumis.
La Maitresse peut prêter son soumis à qui elle veut.
L'esclave doit toujours dire la vérité à sa Maitresse, sans dissimuler ni travestir la vérité.
L'esclave s'engage à informer sa Maitresse de ses pensées, ses sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne.

Signes de la relation de Domination / soumission

La Maitresse peut exiger que l'esclave porte des marques de sa condition : collier de soumis, bague de soumis, cage de chasteté, tatouage intime, marquage intime. Selon les circonstances, ces marques seront visibles (seul avec sa Maitresse, club d'initiés...) ou cachées (travail, famille...)


LIMITES

La relation entre la Maitresse et l'esclave exclue tout pratique illégale, dangereuse pour la santé, toute marque irréversible (à l'exception de tatouages ou marquages intimes qui font partie des symboles de la relation d'appartenance).


CONTROLES

L'esclave tient un journal de sa vie d'esclave. Il fait un bilan de ses rencontres avec Maitresse. Il mentionne notamment tous les faits importants, chaque faute commise, chaque punition reçue ou à recevoir, chaque progrès réalisé. Ce journal est à disposition de la Maitresse.


SANCTIONS

La Maitresse décide des punitions pour chaque faute commise. L'esclave ne peut refuser une punition, elle s'impose à lui. Une punition pour non-exécution d'un ordre ne dispense pas d'exécuter l'ordre après la punition.
L'esclave remercie la Maitresse après chaque punition car elles aident l'esclave à corriger ses mauvais comportements.


DUREE - RENOUVELLEMENT

Le contrat est d'une durée de 3 (trois) mois, durée pendant laquelle les deux parties peuvent le dénoncer.
Il est tacitement renouvelé sauf dénonciation au cours du mois précédent l'échéance.


RESILIATION

Au cours du contrat, la Maitresse peut résilier le contrat à tout moment sans motif ni préavis.
L'esclave ne peut que demander la résiliation, avec des motifs argumentés, un délai d'un mois est ouvert pendant lequel il peut alors revenir sur sa demande.



Fait le 28 Avril 2013




                                      B                                                               Maitresse












samedi 27 avril 2013

Délicieuse cruauté



Rampe... Viens là, jusqu'ici, juste là, aux pieds de mes talons, dans l'ombre de mes genoux.

Un jour tu m'as dit : " Mon corps vous appartient, faites en ce que bon vous semble"

Et aujourd'hui j'ai envie de te faire mal. Pas pour le simple plaisir de te faire souffrir, ça ne m'intéresse pas. J'ai envie de te faire mal, repousser encore un peu tes limites. Te voir te débattre, endurer, résister face à cette douleur grandissante, avant de la laisser te submerger et t'engloutir, pour mieux te vomir lorsque j'en serai rassasiée.

Lève les yeux, regarde moi, que je te gifle. Toi qui disais que ma cruauté était gantée de velours, vois combien ma main est nue aujourd'hui. Combien la douceur est absente de mon regard. Celui là même qui te berce ou te fait frémir.

A peine un peu d'espièglerie en guise de fard...

Regarde devant toi, ne me regarde pas. Je ne veux pas sentir ton regard sur moi. Regarde au delà de ta portée ton dernier caprice, le dernier accessoire de ta transformation, celui qui permet à Liloo de réellement exister, et de laisser Ben s'estomper. Ces chaussures auxquelles tu as tant rêvé.

Regarde les, là près de moi, loin de toi. Imprègne toi des imperfections de mon plancher, tandis que mes pieds te labourent le dos. Que mes talons font pression sur ta chair, que je me prends pour une médiocre artiste abstraite à dessiner des lignes tout le long de ton dos.

Sens mon corps se percher sur le tien, mes cuisses enserrer tes bras le long de toi, mes poings faire pression dans ton dos, mon poids te river au sol. Non tu ne te relèveras pas. Tu vas rester bien sage, comme ça.

Tu vas laisser mes mains remonter ta colonne, venir placer la ceinture autour de ta gorge et serrer. Mes dents mordre tes oreilles, mes doigts se perdre dans tes cheveux et les tirer.

Tu m'aimes et tu me laisse te détruire pour mieux te construire et te révéler. Et je continue de t'étrangler. Je sens les soubresauts qui t'agitent. La peur contre laquelle tu lutte. Ta confiance est un peu ébranlée. Et pourtant. Tout le monde a peur de mourir, mais tu me laisse continuer.

Tu acquiesce docilement lorsque je t'invective férocement. Comme je t'aime lorsque tu m'appartiens ainsi ! Lorsque tu laisse ta vie entre mes mains. Parce que tu sais que je ne te ferai pas de mal. Et combien ça peut sembler absurde à ceux qui n'y entendent rien.

Et quand je suis lassée de t'étrangler, qu'enfin ma colère semble s'estomper, sans qu'un mot ne sois nécessaire te voilà déjà à quatre pattes, la tête rentrée entre les bras.

Comme tu me connais bien ! Comme tu sais bien lire entre mes lignes et voir que ce que certains prendraient pour le gros de la tempête n'en était que le prélude !

La musique qui accompagne cette séance te fait frissonner. Tu ne la connais pas, mais elle te pénètre, et avec elle cette ambiance, d'entre deux eaux. Elle ne te rassure qu'à moitié quant à mon humeur, si tant est que tu ne l'avais pas encore deviné.

Aujourd'hui, tu me découvre sous un jour nouveau. Moins chatte tendrement joueuse.

Et tu maintiens la position alors que silencieuse je fume ma cigarette, te laissant baigner dans l'appréhension de ce qui pourrait bien t'arriver.

Une sensation de froid te gagne, non, tu ne reconnais pourtant pas celle des glaçons. A raison d'ailleurs. Aujourd'hui je vais te mettre le feu. Et ce ne sera pas qu'une sensation.

J'étale donc une noix de gel sur ta peau... et dans ta nuque tombent quelques gouttes d'eau. Puis le claquement sourd et caractéristique du briquet.

D'abord tu ne sens rien. Puis une légère sensation de brûlure dont l'intensité grandit exponentiellement à chaque dixième de second. Puis plus rien de nouveau.

Et le manège recommence, le froid du gel, le craquement du briquet, et la chaleur qui recommence. Qui dure un peu puis qui s'estompe comme happée par tes souvenirs. Dans ces instants, tu retrouve ma douceur amoureuse et méthodique.

C'est pour mieux te torturer mon enfant.

Mais cette lenteur ne m'amuse déjà plus. J'en veux plus, je veux que tu me donne plus, et je ne me satisferai pas d'aussi peu. Aujourd'hui tu me donneras tout, et plus encore.

Alors je te fais pivoter, je te veux face à moi tandis que je fume, encore. Ton indécente croupe tendue, pour recevoir ce qui se présentera.

Ecarte les jambes. Nelly t'as bien instruite, ton tucking est impeccable. On verra combien de temps cela te blindera contre la douleur.

Ma jambe balance, doucement d'abord, caressant presque tendrement tes attributs prisonniers de leur cage en sparadrap. Je te sens te détendre contre la peau de mon pied, presque même venir l'embrasser. Une familiarité qui ne t'a pas été permise. La sanction est immédiate. 

Un premier coup vient écraser davantage tes organes génitaux dans leur cocon, alors que tu retiens ton souffle.

Je sais. Tu ne l'avais pas vue venir celle là.

Et tu reprends immédiatement, et ta contenance et la position. Mais je te décoche un second coup. Plus fort. Et je t'entends serrer les dents. Comme si tu craignais qu'une supplique n'excite davantage ma cruauté.

Alors je frappe à nouveau, toujours plus fort, et avant que tu n'aie pu lacher un son, un autre coup.

Et tu t'affaisse. Touché.

Mais c'est loin d'être terminé. Au bout de cette minable laisse, je te tire et t'entraine jusque dans la salle de bain. Décrochant la pomme de douche, je te la tends sans délicatesse.

Tu vas me laver les pieds, puis tu vas les sécher, avec dévotion. Ensuite tu les masseras, avec cette odorante crème à la mangue, puis tu me verniras les ongles et quand ce sera fait, tu les honoreras de ta dévotion. Tu les embrasseras et les lècheras, comme je ne t'ai encore jamais ordonné de le faire. Comme tu ne l'as jamais fait tout court.

Et je te regarderais faire en buvant un verre de blanc, en fumant une cigarette. Et tu ne lèveras toujours pas les yeux. Parce qu'aujourd'hui tu n'ose pas. Parce qu'aujourd'hui cela vaudrait vraiment mieux pour toi.

Ensuite je verrais ce que mes envies me susurreront. Te cravacher, te fouetter, ou tout simplement t'ordonner de te rhabiller et de foutre le camp, te laissant sonné et haletant, sortant d'une séance comme tu n'en as pas l'habitude.

Mon amour ...

Bientôt, je pourrais te serrer contre moi, te glisser indécemment contre mon corps qui n'en peut déjà plus d'attendre que tu sois mien...


B... fantasme

B... fantasme. La perspective d'un nouveau collier lui donne des ailes. Il rêve.

en voici la teneur...

 Le fouet

Votre Fouet pèse sur mes épaules

Il serpente sur mon corps

La force du cuir tanné, tressé, assoupli

Exhale l'odeur de chair animale


Votre jouet danse, tourne, tournoie

Une spirale siffle et chante à mes oreilles

Un claquement sonore sursaute

C'est la musique des croches et des soupirs


Votre jouet imprime sa marque sur mon dos

Il zèbre ma peau de rouge

Il excite ma douleur,


Mon corps tressaute,

Mes sanglots giclent

Je me rebelle


Ma prière, mes larmes vous implorent

Votre fouet, Maitresse, me dresse

Je plie, je plonge dans la servitude

lundi 22 avril 2013

Un invité en séance...


Séance ? Vous avez dit séance ? Vous osez appeler ça 'séance' ?

Parce qu'une séance c'est un formidable moment de partage qui rime souvent avec grands moments de rires, quelques photos de ces charmants moments...





Les premiers Boudoirs de Liloo

Deux jours avant la soirée, je reçu un ordre de Ma divine Maîtresse : « Être habillé dans une tenue féminine ». Je  me débrouillais pour trouver ces habits me faisant défaut mais pu tel le lévrier sur le champ de course trouver mes trésors.

Toute fière comme la petite écolière qui venait d’avoir un bon point, je me prépare durant ce doux après-midi. Durant tout l’après-midi je sentis une angoisse de pucelle m’envahir, c’est ma première participation à un événement d'une Amie de Maîtresse. Et en même temps, je sentis l’excitation d’être le jouet du plaisir de Ma  Maîtresse.

Durant mon trajet, je revivais mes premières séances avec Maîtresse, au point de sentir mon clito se gonfler, se comprimer dans mes lèvres scellées.

L’arrivée au club fut retardé par un souci de logistique, cela me frustre.  je suis si impatiente de revêtir mes affaires de petite pucelle devant Maîtresse. Le temps de cette attente dans le café à vos côtés me parut  long. Maîtresse Leia prit la parole et propose un tour de table pour une présentation.
Lorsque vint mon tour, je me mis à bafouiller tel un bébé apprenant à parler. Ma timidité naturelle fit son apparition, je me suis sentis nu devant ces Maîtresses et Amies de Ma Maitresse.  Vous  prenez  la parole, de vos mots, je me vis soulagé pou un court instant. Vous venez de me présenter comme une chose, un objet à façonner. Je m’imagine être de la glaise à modeler au moment de vos mots, mes lèvres firent un sourire mais je me suis sentis humilié avec un serrement au cœur de bonheur.
Nous apprîmes que le club allait ouvrir ses portes, la meute que nous étions,c’est mise en ordre de marche vers ce lieux de perversité et de torturés consentis pour le plaisir des désirs de tous.

Durant ce court trajet, j’ai l’honneur d’être la porteuse des affaires de Maîtresse. Dans le club, j’ai cru me transformer en sardine, tout le monde étant rentré dans le même temps pour éviter d’avoir trop froid. Lors de mon passage à l’accueil, je m’acquitte du droit d’entrée de Maîtresse et du mien.
Puis je me glisse dans la pièce à côté ou d’autres soumis se changent. Retirant mon pantalon, je laisse enfin la femelle être libre de cet habit d’apparat qu’était ce jean d’homme. Apparu mon shorty et mon porte-jarretelle mauve assorti, mes bas retenu par les jarretelles, mon petit chemisier légèrement transparent laissant deviner mon soutien-gorge, d’une grande légèreté, je saute dans ma jupe à paillette. Me sentant prête à exécuter tous vos ordres, Maîtresse.  Mon clito enfermé dans son tucking me titille grandement. Je me crus une jeune pucelle découvrant le premier rendez-vous. Ce fut aussi l’excitation de ma première sorti« privée » dans cette tenue.

Je descends l’escalier allant à la cave pour recherche une place éventuelle pour vous, Maîtresse.
Vous posez vos divines fesses sur ce canapé près de la porte de l’escalier en colimaçon. Vous suivant,  m’apprêtant à m’asseoir sur un pouf, vous m’ordonnez d’un regard  d’aigle, de paroles tranchantes tel un rasoir : «  tu crois quoi la ». Votre doigt m’indique ma véritable place de chienne, à votre pied. Regard baisé, peu fier, sur mes genoux, j’attends vos ordres.

Me sentant femelle, je me sentis aussi un peu gêner par le fait peut-être de m première apparition en femelle.  Soudain je vous vis sortir un objet, une queue orange de votre sac. Vous m’ordonnez de la mettre de suite.  A ce moment précis,  j’ai cru devenir une nouvelle Firefox en jupette.

Me battant un peu avec ma queue pour la fixer, ressemblant au chien qui essaye d’attraper sa queue.  Maîtresse Ortica me pose une question. A laquelle  je réponds si spontanément que vous me rappelez à l’ordre en me rappelant mon rang de jeune soumise travesti. Honteusement, je me remis sur mes genoux à vos pieds.
A ce moment, vous attrapez un collier, vous me le passez autour de mon coup. Je fis envahi par deux émotions, la première fut une immense joie de reconnaissance. La seconde, une peur de ne pas être à la hauteur de l’assemblée présente.  M’étant un peu perdu, je repris mes esprits lorsque je vis un nœud de corde rouge arrivé dans mains avec votre ordre : « Allez dénoue moi cela. » Assise sur mes genoux,j’exécute cette tâche avec un grand acharnement pendant que vous discutez de paddles avec la maîtresse assise à votre droite. Une fois la corde dénouée, je vous la présente repliée avec attention dans les paumes de mes mains, les yeux baissés.

Comme toute sissy qui  doit honorer sa maîtresse lors d’un travail finit. Ces premiers instants furent pour moi intenses étant habillé dans ma première tenue en public et pour vous Maîtresse.

La première fois que vous me demandez d’être une femelle en dehors de mon habitat traditionnel.
A ce moment, vous m’ordonnez de me tourner, dos à vous. Vous saisissez mes mains pour ensuite les bonder dans mon dos avec une contrainte passant par mon torse.

Ensuite, vous me placez ma tête contre le canapé, croupe en l’air.  Après une premier salve de coups, Vous me reculez au bord du canapé pour me permettre de mieux vous présentez ma croupe en me cambrant comme une bonne femelle. Sentant la chaleur des coups m’envahir,je savoure chaque contact sur ma peau. Puis vous me redressez de votre main. Je sens une corde passer au-dessus de mon collier. Une certaine peur m’envahit  lorsque vous commencez à tendre la corde pendant que je sens vos coups sur mes fesses devenir plus intenses.  Pour accentuer mes sensations,vous m’ordonnez de me cambrer. Mon esprit volage, j’apprécie cette nouvelle expérience. Mon esprit navigue entre la tension de la corde et les coups que mon fessier reçoit. Mais un grain de sable se glisse dans cette magnifique scène mon genoux droit glisse doucement un glaçon qui fond sous une lampe.  Une pensée d’amertume me submerge pendant vos coups, la glissade du genou qui continue, je n’arrive pas à la contrôler.

Ne tenant plus, je tombe sur mon genou, Vous me faites la morale car j’aurai pu me mettre en danger. Vous me rappelez les règles de sécurité d’un ton sévère et sérieux.

Baissant le regard, je me sentis mal intérieurement. Vous me laissez, pour aller voir vos amies au fumoir et voir ce qui se passe dans les autres salles.

Toujours avec la contrainte de mes cordes, je reste la gardienne de vos affaires. Durant ce moment de réflexion, ma sensation est d’une grande frustration d’avoir arrêté vos Plaisirs.

Durant votre absence,  j’ai été la spectatrice d’une séance de torture de maîtresse Ortica sur soumise ericka. Puis ensuite je vous vois venir passant devant moi vérifier que j’allais bien.Vous  prenez votre sac pour vous occuper d’un autre soumis .

Frustré comme une taupe ne vois pas le bout de son nez,  J’essaie de suivre ce que vous lui faites subir malheureusement l’assistance ne me permet de voir que la scène en parcimonie.

Maîtresse Leia m’ordonne de venir vers elle afin qu’elle me libère de mes contraintes de cordes. En partie détaché, elle me laisse les poignées ligotées,je me retrouvai avec le bout de la corde dans la bouche. Maîtresse Leia m’ordonnant de vous rejoindre.  Je me suis cru votre petite chienne tenant sa propre laisse pour se promener.

je me place à vos cotés sans m’apercevoir que j’obstruai la vue d’une maîtresse qui savoure le spectacle que vous lui fournissez. Sentant un pied passant entre mes jambes, il a fallu votre intervention pour voir ma faute. Malgré mes yeux baissés,  Vous me mettez à quatre devant cette maîtresse auquel j’étais a ses soin. Je compris ma faute mais tardivement, cette maîtresse se servit de moi comme un tabouret pour ses pieds mais aussi m’appliquer une punition pour l’offense que je lui ai faite. Elle me détacha pour me rendre à ma Maîtresse. Pour vous aider, je replie la cordes et me mis à genoux en vous sentant dans mes mains la corde nouée pour être ranger.Les yeux vers le sol j’attends paisiblement.

Vous me dirigez avec votre ami Maîtresse Lou dans la salle de jeu ou se trouve une croix de saint André et un prie-Dieu pour une initiation au fouet.  Maîtresse vous savez que je ne connais pas la caresse de cet instrument. Aujourd’hui ce serait donc un nouveau pas vers une nouvelle expérience,  elles se mirent autour de moi comme des louves chassent leurs proies, me lançant quelques des réflexions et pique qui laisser apparaître un peu plus Liloo. Vous m’ordonniez de me déshabillez afin de ne pas abîmer mes vêtements. Étant un peu désarçonnée dans mes gestes, vous me taquinez avec Maîtresse Lou sur mes gestes. Je me retrouve par la suite sur le prie-Dieu mes fesses bien en présentation aux deux maîtresses.
Intérieurement honteuse dans cette position, Ma croupe bien tendue, ma tête sur le cuir du banc, je vois que vous prenez place au bout du banc.Votre présence eut un réconfort inattendu. Vous me faites placer mes mains sur vos cuisses, ma tête entre vos jambes. Je sentis en moi une pression nouvelle,  celle d’être la hauteur de votre collier. C’est le premier jeu que je fais avec une de vos amies, je me dis que je ne peux pas défaillir. Je dois tenir mon rang de sissy et subir cette épreuve. Les premiers coups fut avec des martinets, des paddles, puis vient ledit « objet », le premier fouet. Vous me rassurez en me promulguant de grand et judicieux conseils. Mon étonnement ne vient pas de la première caresse du fouet mais du claquage dans le vent que j’entendis.  A l’esprit pendant ces salves novatrices, je ne cesse de penser qu’il m’est impossible de ne pas honorer Ma Maîtresse.  Celle qui a vu en moi, un potentiel endormi, a qui j’ai demandé de m’honorer à m’aider à l’exploiter. Maîtresse vous avez ce don de fermeté et de douceur, une main de fer dans un gants de velours.

Maîtresse Lou, et vous-même me signala le changement de fouet par un plus récent, un neuf.
Je sentis la différence au premier claquage sur ma peau. Plus vif, plus courte fus ma première pensée, je continue d’encaissé. Voulant connaître ma limite, je me dois d être la sissy que j’imagine.
Malgré quelques coups trop hauts, je me perds dans cette douleur vive et douce.



Pour finir Maîtresse Lou m’ordonne de compter les 10 prochains coups, les coups de Maîtresse Lou sont monté crescendo en force. Au moment, je me suis senti comme une esclave noir sur la grande place du village en train de subir une punition publique. Le 8eme coup arrive,  ma bouche ouvre et le chiffre 9 en sorti. Puis le chiffre 10, alors que je souhaitais donner le safeword .

Je ne me sentis ailleurs, par la douleur, je l’affectionne cette douleur,douce, vive sur le moment mais lancinante après.   Maîtresse Lou me félicita et me dit que je n’étais pas une lopette en fin de compte. Je fais un grand sourire,.  Une grande fierté m’envahit de bonheur, j’ai atteint mon objectif ne pas défaillir devant ma Maîtresse et son amie Maîtresse Lou. Je pris les mots de ses Maîtresses comme des compliments et un soulagement. Une autre frustration apparu, mon estomac s’est rentré durant cette séance au point que je cru qu’il avait épousé le coin du prie-dieu. Écoutant Ma Maîtresse me parler, je me détends puis j’essaye de me lever doucement.

Allant au bar pour me rafraîchir et me remettre de toutes ses émotions fortes,je n’y trouve personne.
D’un fier pas, je monte à l’accueil pour trouver une personne de l’équipe du bar.  A chaque pas, mon porte-jarretelle frotte sur mes fesses chaudes me fessant ressentir les dix derniers coups de ce magnifique fouet que Maîtresse Lou avait baptisé sur ma peau.
Passant devant le fumoir, Maîtresse Leia me regarde et me dit « tiens-toi »

Fier de mon état, comme une chienne en rut, je me pressais de montrer ma croupe rougis pensant anticipé une future demande. Quelle erreur de ma part, maîtresse Leia me réprimande tout de suite et m’humilie devant le couple avec lequel elle discutait. Mes yeux tournés vers le sol comme une petite fille grondée, j’expose mes fesses devant Maîtresse Leia sous son ordre. Je sentis une chaleur plus vive et plus courte sur mes fesses. Maîtresse Leia m’écrase sa cigarette à plusieurs reprises sur mes fesses comme punition.  Je la mérite par l’arrogance de mon insolence précédente. Mon cœur se remplit de honte car j’ai failli à la bonne imagine de la sissy que je veux être. Par conséquent, j’ai aussi failli à la bonne image de Maîtresse.

Maîtresse Leia m’ordonne de lui libérer le passage sur un ton autoritaire que l’on donne a un domestique maladroit. Remontant mes dessous, je m’exécute honteuse.

Ce fut un moment de tristesse qui m’envahit lorsque j’ai dû partir retourné chez moi.

Je tiens à remercier l’équipe de la soirée « le Boudoir de  Leia » , j’ai passé un moment agréable,j’ai fait la connaissance de personnes que je trouve hors du commun comme Maîtresse Leia et sa moitié.
Je souhaite aussi remercier  Maîtresse  Lou Van Lyck pour cette initiation marquante pour l’art du fouet. 
A Maîtresse Leia pour cette punition qui m’a fait découvrir une sensation inconnu jusqu’à la.

La dévouée Liloo Sissy , soumise de Maîtresse Ô du Moulin.