O ma divine Maîtresse!
Hier soir vous avez honorez votre esclave dévoué en lui faisant
découvrir le son de votre voix. Une voix conforme à votre magnificence,
conforme à votre autorité, conforme à votre fermeté, teintée de
lubricité et de perversion.
Je buvais vos mots tel un délicieux breuvage qui m'enivrait un peu
plus chaque seconde qui passait. Ce premier cyber rendez-vous était
aussi pour vous l'occasion de me délivrer d'une immense frustration
puisque depuis trois semaines vous ´m' interdisiez tout plaisir charnel.
J'observais donc vos volontés à la lettre et malgré de fortes pulsions
sexuelles, je me faisais violence pour respecter encore un peu plus
votre grandeur.
Hier soir donc, à votre demande et sous votre divin contrôle, vous
´m' ordonniez de purger votre queue. Vous décidiez de me voir sans que
je puisse le faire en retour mais très magnanime, vous m'autorisiez à
choisir une photo de votre splendeur afin que votre queue puisse
exploser avec encore plus de vigueur. Je me mettais donc nu devant vous
et commençais à branler votre queue que je sentais extrêmement raide et
chaude.
Tous mes sens étaient en exergues et mon plaisir intellectuel
dépassait mon plaisir physique. Je me branlais si fort et mon envie de
vous satisfaire était si intense que je souhaitais que le frein de votre
gland lâche pour mêler douleur et jouissance, sang et sperme. Peu de
temps après, c'est dans vos yeux que j'ai plongé les miens pour enfin
accéder à la délivrance.
Pendant que votre sperme jaillissait de vos couilles, des râles de
plaisir sortait de la bouche de votre pute et de nombreux spasmes
musculaires parcouraient son corps. Votre queue éructait une seconde
fois tant le plaisir était si intense. Je ne vous remerciais pas mais
Vous pouviez lire dans mes yeux toute ma satisfaction, mon bonheur, ma
joie et me sérénité et profitiez à votre tour du moment de liberté que
vous veniez de m'offrir.
À ce moment là, cette nuit précise, vous compreniez que votre esclave
vous aimait d'un amour pur et sans borne et que votre domination sur
lui serait totale.
Ce jour, vous faisiez d'un Maître SM votre esclave conquistador, qui
n'a que pour unique but que de vous adorer et de vous servir.
jeudi 29 janvier 2015
Cette nuit
Cette nuit, tu as ragé de ta frustration et de mes
taquineries. Mais tu en as sans doute bandé plus fort encore. Si
j'étais plus douce tu m'aimerai moins. En lisant ceci, tu me diras sans
doute que non, tu m'aimerai autant. Que je suis ta déesse, et que
quoi je fasse ou dise, cela t'es égal car cela n'entache pas le
caractère parfait que ta maîtresse revêt à tes yeux.
Mais soyons honnêtes... Tu m'aimes autant justement parce que je ne suis pas plus douce. Parce que je deviens, le temps que cela me chante, la déesse que tu aime, et que tu veux que je sois.
Comme tu as su le dire (non sans une pointe de déception même si tu t'en défendras), qu'il serait dommage de céder maintenant. De te laisser répandre ta frustration et ta semence 'presque si tôt ' pour reprendre tes mots.
Tu as lu les mots qui disaient que tu attendrais jusqu'à ce que cela te sois insupportable et que tu me supplie de te libérer de ton fardeau. Et qu'après avoir supplié tu attendrais encore. Jusqu'à la déraison. Jusqu'à frôler l'explosion. Et que peut être alors seulement je tacherai d'être clémente.
Tu as lu ces mots. Et tu t'es tellement imprégné d'eux que même si tu sais que tu en deviendrais dingue, cette idée t'excite.
Parce que je ne suis pas ces 'elles' qui sont passées dans ta vie et ont remis leurs désirs entre tes mains pour que tu les satisfasse ou pas, en bon mâle alpha, en bon dominant. Je ne suis pas ces elles. Ton désir je le réclame. Ton désir je le prends. Je m'en fais des colliers de perles. Tu as choisi cela. Tu as choisi d'être le mâle à mon service.
Mon esclave.
Mon objet, mon jouet.
Pourquoi moi ? Je ne sais pas vraiment. Et je ne suis pas sûre que cela compte au final.
Cette nuit, j'ai plongé mes yeux dans les tiens par delà les écrans. Je t'ai fait entendre la voix de ta maîtresse.
Cette nuit, je t'ai regardé te caresser pour moi. Sur mon ordre. Pour mon plaisir. J'ai aimé cela de ce désir si sauvage et animal qui caractérise certains instants de jeu. Je me suis noyée non pas dans le foutre répandu pour me satisfaire, mais dans ton visage submergé par le plaisir. Dans cet océan d'émotions qui t'as laissé tremblant après son tumultueux passage.
Cette nuit je t'ai regardé au delà des mots croisés de nos jours. Cette nuit je crois que je t'aime quand tu m'appartiens, Conquistador...
Mais soyons honnêtes... Tu m'aimes autant justement parce que je ne suis pas plus douce. Parce que je deviens, le temps que cela me chante, la déesse que tu aime, et que tu veux que je sois.
Comme tu as su le dire (non sans une pointe de déception même si tu t'en défendras), qu'il serait dommage de céder maintenant. De te laisser répandre ta frustration et ta semence 'presque si tôt ' pour reprendre tes mots.
Tu as lu les mots qui disaient que tu attendrais jusqu'à ce que cela te sois insupportable et que tu me supplie de te libérer de ton fardeau. Et qu'après avoir supplié tu attendrais encore. Jusqu'à la déraison. Jusqu'à frôler l'explosion. Et que peut être alors seulement je tacherai d'être clémente.
Tu as lu ces mots. Et tu t'es tellement imprégné d'eux que même si tu sais que tu en deviendrais dingue, cette idée t'excite.
Parce que je ne suis pas ces 'elles' qui sont passées dans ta vie et ont remis leurs désirs entre tes mains pour que tu les satisfasse ou pas, en bon mâle alpha, en bon dominant. Je ne suis pas ces elles. Ton désir je le réclame. Ton désir je le prends. Je m'en fais des colliers de perles. Tu as choisi cela. Tu as choisi d'être le mâle à mon service.
Mon esclave.
Mon objet, mon jouet.
Pourquoi moi ? Je ne sais pas vraiment. Et je ne suis pas sûre que cela compte au final.
Cette nuit, j'ai plongé mes yeux dans les tiens par delà les écrans. Je t'ai fait entendre la voix de ta maîtresse.
Cette nuit, je t'ai regardé te caresser pour moi. Sur mon ordre. Pour mon plaisir. J'ai aimé cela de ce désir si sauvage et animal qui caractérise certains instants de jeu. Je me suis noyée non pas dans le foutre répandu pour me satisfaire, mais dans ton visage submergé par le plaisir. Dans cet océan d'émotions qui t'as laissé tremblant après son tumultueux passage.
Cette nuit je t'ai regardé au delà des mots croisés de nos jours. Cette nuit je crois que je t'aime quand tu m'appartiens, Conquistador...
samedi 24 janvier 2015
Philharmonia
Oh oui continue ... Berce moi de tes suppliques !
C'est si bon ... Si bon de t'entendre.
J'aime ton corps qui ondule et se tord pour moi. Parfois me fuyant, parfois m'embrassant, dans la sauvage nudité des coups qui s'abattent.
Le claquement sec de mes mains sur ta croupe virile, dans ce rythme inconnu de percussions tribales, ponctué de tes râles et protestations, m'entraîne dans une transe primaire.
Tes gémissements ininterrompus de violon solitaires quand se brisent entre mes doigts les atomes volages de cette masculinité qui m'est si chère.
Viens mon aimé, pose ta tête sur mes genoux. Mouille les de tes larmes. Marque moi de tes silences et de tes cris.
Je t'aime quand tu m'aimes. Je t'aime quand tu me détestes. Quand tes yeux me défient de conquérir ce grand mâle fauve. Quand ton corps se couvre des marques de mon désir comme un compositeur noircit les pages de ses partitions. Quand ton esprit me cède et que pour mon plaisir tu deviens mon instrument.
Depuis que tu es entré dans ma vie, je ne vais plus au conservatoire. Tu es mon philharmonique à moi...
C'est si bon ... Si bon de t'entendre.
J'aime ton corps qui ondule et se tord pour moi. Parfois me fuyant, parfois m'embrassant, dans la sauvage nudité des coups qui s'abattent.
Le claquement sec de mes mains sur ta croupe virile, dans ce rythme inconnu de percussions tribales, ponctué de tes râles et protestations, m'entraîne dans une transe primaire.
Tes gémissements ininterrompus de violon solitaires quand se brisent entre mes doigts les atomes volages de cette masculinité qui m'est si chère.
Viens mon aimé, pose ta tête sur mes genoux. Mouille les de tes larmes. Marque moi de tes silences et de tes cris.
Je t'aime quand tu m'aimes. Je t'aime quand tu me détestes. Quand tes yeux me défient de conquérir ce grand mâle fauve. Quand ton corps se couvre des marques de mon désir comme un compositeur noircit les pages de ses partitions. Quand ton esprit me cède et que pour mon plaisir tu deviens mon instrument.
Depuis que tu es entré dans ma vie, je ne vais plus au conservatoire. Tu es mon philharmonique à moi...
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