Cette nuit, tu as ragé de ta frustration et de mes
taquineries. Mais tu en as sans doute bandé plus fort encore. Si
j'étais plus douce tu m'aimerai moins. En lisant ceci, tu me diras sans
doute que non, tu m'aimerai autant. Que je suis ta déesse, et que
quoi je fasse ou dise, cela t'es égal car cela n'entache pas le
caractère parfait que ta maîtresse revêt à tes yeux.
Mais soyons honnêtes... Tu m'aimes autant justement parce que je ne suis pas plus douce. Parce que je deviens, le temps que cela me chante, la déesse que tu aime, et que tu veux que je sois.
Comme tu as su le dire (non sans une pointe de déception même si tu t'en défendras), qu'il serait dommage de céder maintenant. De te laisser répandre ta frustration et ta semence 'presque si tôt ' pour reprendre tes mots.
Tu as lu les mots qui disaient que tu attendrais jusqu'à ce que cela te sois insupportable et que tu me supplie de te libérer de ton fardeau. Et qu'après avoir supplié tu attendrais encore. Jusqu'à la déraison. Jusqu'à frôler l'explosion. Et que peut être alors seulement je tacherai d'être clémente.
Tu as lu ces mots. Et tu t'es tellement imprégné d'eux que même si tu sais que tu en deviendrais dingue, cette idée t'excite.
Parce que je ne suis pas ces 'elles' qui sont passées dans ta vie et ont remis leurs désirs entre tes mains pour que tu les satisfasse ou pas, en bon mâle alpha, en bon dominant. Je ne suis pas ces elles. Ton désir je le réclame. Ton désir je le prends. Je m'en fais des colliers de perles. Tu as choisi cela. Tu as choisi d'être le mâle à mon service.
Mon esclave.
Mon objet, mon jouet.
Pourquoi moi ? Je ne sais pas vraiment. Et je ne suis pas sûre que cela compte au final.
Cette nuit, j'ai plongé mes yeux dans les tiens par delà les écrans. Je t'ai fait entendre la voix de ta maîtresse.
Cette nuit, je t'ai regardé te caresser pour moi. Sur mon ordre. Pour mon plaisir. J'ai aimé cela de ce désir si sauvage et animal qui caractérise certains instants de jeu. Je me suis noyée non pas dans le foutre répandu pour me satisfaire, mais dans ton visage submergé par le plaisir. Dans cet océan d'émotions qui t'as laissé tremblant après son tumultueux passage.
Cette nuit je t'ai regardé au delà des mots croisés de nos jours. Cette nuit je crois que je t'aime quand tu m'appartiens, Conquistador...
Mais soyons honnêtes... Tu m'aimes autant justement parce que je ne suis pas plus douce. Parce que je deviens, le temps que cela me chante, la déesse que tu aime, et que tu veux que je sois.
Comme tu as su le dire (non sans une pointe de déception même si tu t'en défendras), qu'il serait dommage de céder maintenant. De te laisser répandre ta frustration et ta semence 'presque si tôt ' pour reprendre tes mots.
Tu as lu les mots qui disaient que tu attendrais jusqu'à ce que cela te sois insupportable et que tu me supplie de te libérer de ton fardeau. Et qu'après avoir supplié tu attendrais encore. Jusqu'à la déraison. Jusqu'à frôler l'explosion. Et que peut être alors seulement je tacherai d'être clémente.
Tu as lu ces mots. Et tu t'es tellement imprégné d'eux que même si tu sais que tu en deviendrais dingue, cette idée t'excite.
Parce que je ne suis pas ces 'elles' qui sont passées dans ta vie et ont remis leurs désirs entre tes mains pour que tu les satisfasse ou pas, en bon mâle alpha, en bon dominant. Je ne suis pas ces elles. Ton désir je le réclame. Ton désir je le prends. Je m'en fais des colliers de perles. Tu as choisi cela. Tu as choisi d'être le mâle à mon service.
Mon esclave.
Mon objet, mon jouet.
Pourquoi moi ? Je ne sais pas vraiment. Et je ne suis pas sûre que cela compte au final.
Cette nuit, j'ai plongé mes yeux dans les tiens par delà les écrans. Je t'ai fait entendre la voix de ta maîtresse.
Cette nuit, je t'ai regardé te caresser pour moi. Sur mon ordre. Pour mon plaisir. J'ai aimé cela de ce désir si sauvage et animal qui caractérise certains instants de jeu. Je me suis noyée non pas dans le foutre répandu pour me satisfaire, mais dans ton visage submergé par le plaisir. Dans cet océan d'émotions qui t'as laissé tremblant après son tumultueux passage.
Cette nuit je t'ai regardé au delà des mots croisés de nos jours. Cette nuit je crois que je t'aime quand tu m'appartiens, Conquistador...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire