samedi 17 novembre 2018

Vendredi soir - en attendant F -

Vendredi soir 




Ce soir un nouveau chien s'apprête à être introduit dans mon cheptel. 

Adorateur, il se rêve Severin moderne, à la fin moins malheureuse. Quant à moi, évidemment, il me rêve sa Wanda, cruelle tortionnaire qui n'a de plaisir que de mettre son serviteur à des épreuves plus dures les unes que les autres. 


mardi 30 octobre 2018

Présentation du FNLS par Maitre

Présentation du Front National de Libération des Soumis(e)s

Par ces quelques lignes, j’aimerai vous présenter une association que j’ai l’immense honneur de présider : le Front National de Libération des Soumis(e)s. Comme cette association est méconnue je me dois de vous la présenter.

Tout d’abord, comme l’indique le nom de l’association, notre champ de compétence est national. Nous pouvons donc intervenir sur l’ensemble du territoire français. Cela témoigne de la grande ambition du FNLS.
Nous sommes pour l’instant très modestes mais nous débordons de volonté de nous étendre. Il est primordial que notre message passe car aujourd’hui encore, trop de soumis(e)s sont maltraités par leurs maître(sse)s ! Il faut que cela cesse immédiatement et nous mettrons tout en œuvre pour arriver à ce résultat.
Comment peut-on tolérer aujourd’hui, 170 ans après l’interdiction de l’esclavage que des êtres humains soient encore exploités sans vergogne !
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : de la traite d’êtres humains sans défenses. Un strict abus d’autorité de la part de personnes dites dominantes. Au nom des droits de l’Homme, pour la mémoire du grand Jean Jacques ROUSSEAU, nous ne pouvons tolérer ces comportements. Surement pas au sein du pays des droits de l’Homme.
Il est intolérable que certains individus puissent profiter de la faiblesse des autres, c’est totalement inhumain !
Je pense être la meilleure personne pour parler de ce sujet car j’ai moi-même été exploité par une dominatrice pendant de longs mois. J’ai vécu avec elle les pires moments de ma vie et c’est pour cela que je veux absolument éviter que cela n’arrive à d’autres. C’est un véritable devoir pour moi.
Pour que vous puissiez vous faire une idée, je vais vous donner des exemples concrets de ce qu’elle me faisait faire au quotidien. Tenez-vous bien car cela relève tout bonnement de la torture. Pratique qui est, je vous le rappelle, sanctionnée par un bon nombre de conventions internationales ainsi que par l’article 222-1 du Code pénal.
Ma Maitresse (car c’est comme cela que je devais l’appeler) exigeait de moi que je dessine un M au marqueur au-dessus de mon sexe tous les matins et que je lui envoie la photo. Cela vous donne une idée de la perversité qui habite les dominant(e)s. Elle venait jusqu’à marquer mon propre corps !
Moi je n’étais à l’époque qu’un petit être innocent et obéissant qui, envouté par une séduisante personne, lui obéissait au doigt et à l’œil. Comme chez toute classe dominante, on retrouve une volonté d’écraser les classes inférieures. Les obligations étaient une chose avec ma Maitresse, mais les interdictions étaient encore bien pires. J’avais par exemple la stricte interdiction de me faire jouir ! Vous imaginez un peu la torture que cela représente ??? L’interdiction totale de profiter d’un des plus puissants plaisirs possibles. Une chose pareille devrait être totalement inconcevable.
C’est pourquoi je me sens aujourd’hui littéralement et habité par une mission de protection des personnes soumises.
Depuis que je me suis libéré du joug de ma tortionnaire, je milite avec les quelques membres de mon association auprès des soumis(e)s pour qu’une révolution se mette en marche. Aujourd’hui je suis malheureusement confronté à une trop grande réticence des soumis(e)s … Je le déplore et même si je tente de les convaincre de se battre, de se soulever contre leurs oppresseurs, ils refusent presque tous. Pauvres âmes perdues, ils sont totalement sous l’emprise de leur Maitre(sse)s. Il faut reconnaitre que les dominant(e)s sont habiles, ils jouent de manipulation, ils utilisent le chantage, ils créent une illusion. Ils font croire à leurs soumis(e)s que ce qu’ils subissent est normal, que c’est pour leur bien, pour leur plaisir. Car oui, pour les soumis(e)s la notion de plaisir se disloque doucement. Certains vont même jusqu’à penser qu’ils prennent plaisir à avoir mal … Le masochisme ; voilà encore une notion inventée par les dominant(e)s pour épancher leurs pulsions sadiques. Quoi de mieux que de faire croire à des personnes qu’elles aiment avoir mal. Dans ces conditions elles acceptent mieux c’est sur !
J’ai rencontré encore l’autre jour une soumise qui me disait que ce qu’elle aimait beaucoup c’est quand son Maitre la frappait avec un fouet. Vous imaginez un peu … avec un fouet !!! Encore un objet que les dominants ont emprunté aux esclavagistes. Ils ont tellement de points en commun …
Et le pire, c’est que cette soumise me disait cela avec le sourire en plus … Comment peut-elle être autant dans le déni !
Il faut bien informer les soumis(e)s pour qu’ils prennent conscience des choses et pour cela une grande campagne nationale doit être lancée par l’association. Que les soumis(e)s se rendent compte que s’ils s’unissent tous, ils seront plus forts et pourront renverser le pouvoir en place. Je ferai tout pour que l’exploitation des soumis cesse. J’ai pour ambition que mon association demande à un député de faire passer à l’assemblée nationale un projet de loi visant à interdire l’esclavage moderne qu’est celui des soumis. Je mets un point d’honneur à ce que, grâce à mon association, après 1848, 2018 soit une grande date dans l’abolition de TOUTES les formes d’esclavage !

Alors rejoignez et adhérez à mon association. Soumis(e)s, je vous l’ordonne !

dimanche 21 octobre 2018

É talons ?


Petit texte libre de mon esclave Maître

La gestion du temps dans une relation D/S à distance

Dans une relation D/S, au fil des mois, il faut gérer les temps faibles et les temps forts. Il y a des moments forts, des moments d’excitation, des séances, de l’action … et puis, il y a aussi des moments calmes, des moments de solitude même …
La gestion des moments forts n’est pas une réelle difficulté car dans ces moments, la proximité entre le soumis et sa maitresse est très importante. Aucun problème n’apparait dans ces périodes, aucun doute car on se sent accompagné, on se sent utile pour sa Maitresse.
Dans les moments faibles, c’est une autre histoire. Il faut vraiment prendre son mal en patience, relativiser, se rattacher à quelques moments d’échanges avec sa Maitresse. Je pense que pour un soumis, il faut se plier au rythme des humeurs de sa Maitresse. Il faut suivre ses envies, ses excitations, ses fatigues, ses états d’âme. Comme dans une relation amicale ou même amoureuse, il faut s’adapter et apporter à l’autre ce qu’il semble désirer de nous.
Pour ma part, j’ai toujours trouvé normal d’attendre ma Maitresse. Je tiens tellement à elle qu’il me semble tout à fait naturel de la servir en fonction de ses envies. J’essaye d’ailleurs d’endosser le rôle qui semble le plus opportun en fonction des situations. Je mets également un point d’orgue à ne pas me montrer envahissant. Ma relation avec ma Maitresse n’est en rien exclusive, alors bien sûr cela amène d’autant plus à faire la part des choses et à savoir rester à sa place.
Lorsque ça ne va pas et que le besoin de sentir la présence de sa Maitresse est trop fort, je pense qu’il ne faut surtout pas hésiter à le lui dire. Une Maitresse doit pouvoir entendre ce type de message de la part de son soumis. J’ai la chance d’avoir une Maitresse qui consacre une large place pour le dialogue. Lors de mes petits moments de doute, mes petits coups de blues, elle a toujours su me rassurer.
Lorsqu’une relation dure, j’estime que c’est le signe d’une bonne complicité et d’une convergence des envies, une concordance des modes de fonctionnement.
Si la gestion du temps est trop difficile, si l’attente est une source de souffrance, d’énervement, je pense que c’est le signe qu’une relation ne fonctionne pas ou ne fonctionne plus.
Pour ma part, tous les matins j’ai la confirmation que ma relation fonctionne avec ma Maitresse. Lorsque je trace mon « M » au marqueur au-dessus de mon sexe, je me sens avec elle, totalement à elle. Toutes mes journées commencent par une pensée pour ma Maitresse et jamais je n’ai envie de changer cela car c’est toujours une source de sourire pour moi.

Bracelets de cheville


Ils sont arrivés vendredi... cadeaux d'un admirateur 

A little catwalk


Quelques pas dans mon salon ...

dimanche 1 juillet 2018

Jeux publics



Les jeux publics, ont parfois une saveur particulière.  Mes préférés ne sont évidemment pas ceux se déroulant dans les espaces temps prévus à cet effet.

Comme avec mon esclave Ombre. Quelques jours après une séance où il était reparti avec un petit cadeau de ma part, Se rendant à la gare, un petit contrôle de la brigade ferroviaire.

Comme de coutume, contrôle d'identité,  vous venez d'où,  vous allez où, pour quelle raison ?

Puis l'ouverture du sac.

《C'est quoi ça ?》

Se pourrait il que mon étourdi préféré aie oublié quelque chose de répréhensible ?

Évidemment, aucune réponse.  Début d'agacement de la part des autorités.

Bis repetita.

《C'est quoi ça ?》

L'ombre, contrairement à ce que la science nous a démontré change de couleur.  Regarde ses pieds. Voudrait disparaître dans le néant.  Être invisible.

Agacement plus que croissant des autorités. Il va falloir se décider...

Dernière chance.

《Monsieur, pour la dernière fois, c'est quoi, ça ? 》

Le marteau... l'enclume,  cette histoire vieille comme le monde...

Puis, succédant à la sidération,  un sursaut.

Plus franchement le temps de répondre ou d'y réfléchir.

《C'est la cage de chasteté offerte par ma Maitresse !》

C'est une diaspora d'anges qui passe.

Il est devenu rouge pivoine. En face, un de ceux en uniforme, lui, a préféré le cramoisi.

Les goûts et les couleurs... j'aime à penser que c'est l'expérience ou l'envie qui ont suscité ce changement de couleur.

Encore aujourd'hui, quand je lui demande, il est incapable d'expliquer où il a trouvé le courage de répondre.

Je ris encore quand je l'entends me raconter cette anecdote...

#keyholder #sadique #capricieuse #dominatrice #humiliation @amoi

Bientôt sans doute un nouvel épisode de ce petit jeu avec lui...




vendredi 29 juin 2018

A witch to worship



Say "Hi !"
To my new beloved familiar, a firefly Ball python named Lovecraft.

And as you can see ou baby boy is watching you !






Footfet fest

Profitez ...


Comme les soldes, ces petites attentions ne durent pas...

#gold #toes #footfet #sunny #diamonds

Petit cadeau pour les footfet ...


Les beaux jours ... pleins de promesses...

Ils donnent envie de ressortir les hauts talons, de déambuler libre et légère...


#highheels #feet #fetish #shoesfetish #ladyO #MistressMillwater

dimanche 7 janvier 2018

Gouters du Divin Marquis



Prise en flagrant délit, en possession et faisant usage de pinces masturbatoires ...


J'aime en effet l'idée de cette première vague de plaisir, sourde, attendue, qui va et vient telle le ressac, et auquel vient s'ajouter la douleur, vive et vibrante de cette peau que l'on étire, la frustration d'une liberté de mouvement que l'on restreint.


L'impuissance jouissive dans leur regard. Cette vulnérabilité qui transpire. Chaque molécule de leur être tendu vers moi. Suspendu à mon souffle. A ce rire de garce amusée que je ne cherche nullement à dissimuler.


Pour leur plus grand malheur (quelqu'un y croit il vraiment ?), jusqu'à ce que mes mains se posent sur eux, ils ne peuvent savoir ce qui les attend. Et j'avoue que parfois moi non plus.


J'aime ces instants où, à ma merci, ils m'offrent tout ce que je souhaite obtenir d'eux.



Plaisirs, souffrances, vertiges de l'amour que certains rêvent trop fort...

samedi 6 janvier 2018

Chaussures de princesse








2018 - le cheptel s'est agrandit - Partie I

Il y a un moment maintenant que je n'étais pas revenue en ces lieux ...

La faute a un manque de temps, une phase évolutive généralement précédée par une tendance au repli sur moi, un arrêt du jeu, le temps que les choses se fassent ... 

2017 s'est avérée fort intéressante, en rencontres et en expérience. Le cheptel s'est agrandit. 

Deux nouveaux jouets se sont ajoutés à ma collection, et partager la servitude de mon Ombre, jouet aussi fidèle que volatile depuis bientôt 4 ans. 

Ainsi, en Mai, Maitre est arrivé le premier. Il est jeune, à peine 25 ans, habite loin de moi. Ses études bientôt achevées ont déterminé le choix de son nom. 

Mon petit Maitre est un de ceux qui a toujours mis un point d'honneur à être un bon élève, investi, curieux, appliqué. Son désir de me plaire et me satisfaire est son principal moteur. 

Empressé et perfectionniste, il est de ceux qui se liquéfie dès que les mots sont plus durs. Ma chose, mon jouet qui a compris que son statut ne lui autorise rien d'autre que le plaisir de me satisfaire. 

Que sa chasteté sans cage dure 3 jours ou 5 semaines, jamais il ne se plaint. 

En revanche, il est très clair sur le sujet. 

" Je ne suis pas un soumis, je ne me sens pas comme étant un soumis. Je VOUS suis soumis et cela fait toute la différence." 

Curieux, cérébral et subtile, son désir de servir et satisfaire en fait un bon candidat pour les jeux D/s et par extension, le masochisme, grâce à son envie de se dépasser.

Pourquoi je crois en lui et notre lien malgré la distance ?

Depuis le tout premier jour en Mai, JAMAIS il n'a entendu le son de ma voix. Et en bon esclave, il attend sagement, le jour où il me plaira de le récompenser et lui permettre de la découvrir.

Peu le supporterait sans rechigner.


Plume productive, ses debriefs et devoirs auront bientôt leur place ici.



En illustration, son envie de servir, déclenchée sur demande.