lundi 27 mai 2013

Le Marathon de la fessée - 1ère édition -

Faute d’organisation de ma part, j’arrive en retard de 30 minutes chez Maîtresse Angélique.
Maîtresse Red , m’ouvre la porte. Elle me montre le chemin pour aller dans la chambre. Maîtresse Angélique donne son repas à sa fille.

En rentrant dans la chambre, je vois ce regard charmant et cinglant, je sens un frisson dans mon dos.
Maîtresse Angélique parait douce, pourtant, son regard parle de sévérité, de droiture. Je me fais réprimander gentiment devant la petite. J’ai bien compris le message, j’acquiesce en baissant mon regard. Je me sens déjà mal à l’aise. Liloo s’est encore fait remarquer, j’ai le don naturel de faire ce qu’il faut pour cela. Maîtresse Angélique me signalant qu’elle est plus organisée que la pauvre soumise que je suis, m’a laissé une tache à faire, celle de balayer le sol.

Je sors de mon sac à dos alors les bouteilles que j’avais ramenées plus ma petite surprise pour la soirée suite à une discussion.
Je pose mes affaires près du lit au Maîtresse Angélique m’indique l’endroit. Je sors de la chambre pour aller dans l’entrée trouver le balai. Ne voyant pas le balai, et n’étant pas chez moi je ne fouille pas, je demande à Maîtresse Red « où puis je trouve le balai ? »

Une fois le dit objet entre mes mains je commence à balayer par la cuisine. Lorsque je finis de la balayer, je prends la pelle, je vais la vider dans la poubelle. Mince, celle-ci n’a pas de sac. Je pose la pelle et continue de balayer en attendant qu’une personne passe par la cuisine. Je vois arrivé Pascal le soumis de Maîtresse Angélique. Il met un sac dans la poubelle ce qui me permet de vider ma pelle. Je continue comme ça mon balayage de l’appartement.

Je finis mon coup de balai, je propose a Maîtresse angélique de donner un peu coup dans la chambre de sa fille. Elle me dit que ce n’est pas la peine. Elle m’ordonne d’emmener le plateau repas de sa fille dans la cuisine. Je m’exécute de suite. A mon retour à la chambre, je peux passer mon balai. Je secoue aussi le dessus de lit ou il y avait des miettes du repas. Je vais vider ma pelle dans la poubelle de la cuisine. Je range le balai dans le placard de l’entrée. Puis je retourne dans la chambre. Au même moment, Maîtresse Angélique me dit que je peux m’habiller et me préparer.

Je sors donc mes affaires de mes sacs, escarpins, jupe, chemisier, perruque. Je m’habille, me maquille légèrement, j’ai toujours des soucis avec le maquillage. Je m’aperçois que la perruque a encore souffert dans le transport, je tente de la brosser mais je dois mal m’y prendre et puis je me sens encore gênée par cette perruque grrr … je l’enfile sur ma tête. Je mets mes bracelets de force aux chevilles et aux poignets. Et je vais retrouver les Maîtresses de maison et Pascal dans la pièce principale. L’heure arrive, les invités aussi tour à tour. Le buffet de Maîtresse Angélique est complimenté par les invités au regard des plats préparés. Je reste dans mon coin, en vous attendant Maîtresse. Je regarde, écoute les invités. Je reste à l’égard je dis bonjour et me présente comme il se doit comme votre soumise. Les conversations avancent avec l’heure, Maître Caïman vient me voir pour me parler. Comme l’animal, séduisant qu’est le caïman, il est difficile de savoir si on sera mangé cru ou avec douceur. Je suis en confiance mais ai-je raison ? Cela fait un moment que je suis seule dans mon coin a écouter, à rester sagement à attendre ma Maîtresse. Maître Caïman me fait rompre cette attente, je réponds à ces questions et nous commençons à discuter.

Malgré les diverses propositions de me restaurer, je vous attends, Maîtresse. Avec Maître Caïman nous parlons de fouet et de sa maîtrise de ce jouet magnifique à mes yeux. Je reçois votre texto dans lequel vous m’annoncez votre arrivée dans les 5 minutes. Je donne cette information à Maîtresse Red. Puis je vais me servir un verre d’eau car je sens une légère migraine arriver. Puis je vois Maîtresse Lisa retirer ses bas pour les remettre. Elle me regarde et me demande assistance pour remettre ses chaussures. Bien sûr, je l’aide puisque toutes les personnes présentes sont de vos connaissances.

De plus, c’est une femme dans le besoin donc je dois l’aider. Je m’occupe du pied droit d’abord, avec un peu de mal mais je mets bien toutes les attaches. Je passe à l’autre jambe qui me pose un peu plus de difficulté. Puis je reconnais une voix derrière moi, lorsque je finis une attache j’entends :
« Elle ne m’a pas entendu » .

Je vous ai entendu mais je finis avec beaucoup de mal à mettre les attaches. Maîtresse Lisa vous fait part du fait qu’elle m’a demandé de l’aide pour ses chaussures. Vous lui confirmez qu’elle a eu raison.
Ensuite, vous dites bonsoir à toutes les personnes de l’assemblée qui sont ravies de vous voir.
Je vous sers une sangria afin que vous poussiez vous désaltérez avec vos amis près de la fenêtre.
Pendant que vous discutez, le soumis de Maîtresse Harmony Ortica, Loulou, se faisait faire une séance d’aiguilles sur les fesses. Une fois cette séance finit, les fesses désinfectées, il commence une séance de coup avec une canne, et la tapette spaghetti.
Peu de temps après, Maîtresse Angélique et Maîtresse Red demande aux soumises et soumis participant de se placer contre le buffet en ligne.

Sur la ligne de départ nous avons près de la porte du couloir, Pascal poulain de Maîtresse Angélique, à sa droite nous avons Maîtresse Lisa dont son maître a posé la candidature puis nous avons Loulou le soumis de Maîtresse Harmony Ortica, et en dernière position près de la cuisine, moi, Liloo, la soumise de Maîtresse O_du_Moulin.

Durant notre mise ne place ,vous m’avez mis mon bâillon que je porte autour du coup depuis le début de soirée. Nous avons un rapide rappel des règles et du safeword «  Pantoufle ».
Tous les Maîtres et Maîtresses se mettent sur la ligne de départ pour donner la premier fessées, Clac clac clic (appareil photo de Maîtresse Red pour le clic) .

Je sens les premières fessées pour chauffer les fesses mais rapidement votre cadence change, plus rapide plus fort. Au bout de cinq minutes je m’aperçois, que je salive, je ne peux m’empêcher de regarde le sol et voir la salive tomber par terre, je regarde les autres soumis. Nous avons l’air de prendre sur nos fesses mais de tenir aussi. Les fessées continuent d’affluer sur mes fesses à mon grand étonnement, j’aime cette chaleur. Je ne m’aperçois pas dans les coups que plusieurs personnes passent leurs mains sur mes monts rougis. Sauf une personne que je reconnais a la première fessée. Maître Caïman. Je sens chaque fessée, j’ai envie de dire le safeword , non la douleur est forte mais absorbable rapidement, et puis je mords dans la boule du bâillon. Je peux résister a cela. Après la séance de fouet de mercredi, les fessées je devrais pouvoir tenir, ce fut ma réflexion. J’ouvre mes yeux et m’aperçoit qu’il manque des pieds de soumis, je vois aussi Maîtresse Lisa au sol. Mes pieds me font souffrir au point que j’oublie la chaleur des fessées.
Vous venez près de moi, je ne sais pas comment vous avez compris. Vous me dites que je peux retirer mes escarpins si j’ai trop mal. Je les ai retiré sans bouger mes mains. Mes pieds à plat me font plus mal que dans mes chaussures, les claques continuent de pleuvoir sur mes fesses pour mon bonheur même si certaines sont plus fortes que d’autres, j’aime cela. Puis je regarde sur ma droite, je vois une jeune demoiselle se positionner pour recevoir des fessées mais je comprends que ce n’est pas pour participer au marathon. D’ailleurs en jetant un peu coup d’œil, je vois toujours Maîtresse Lisa au sol, Pascal avec une fesseuse, je reconnais vos chaussures. Je referme les yeux pour mieux savourer les fessées reçues. J’entends Loulou vouloir revenir dans la course. Mais les organisatrices ne sont pas de son avis. Je rouvre les yeux et je vois que Loulou et de nouveau parti. Le temps continue et les fessées aussi, l’impression que des heures passent et non des minutes, je perds la notion du temps mais je savoure mon sort.

Je n'entends plus trop le bruit de fessées, je regarde, j’aperçois Maîtresse Lisa dans les bras de son Maître. Je pense que c’est un abandon, je ne sais pas et puis moi je continue. J’entends Maîtresse Lisa qui demande si elle peut me fesser. Il n’ ya pas d’objection donc elle me rougit un peu plus mon postérieur. A un moment, je sens comme des griffes, sur mon postérieur , j’avance mes fesses car je ne trouve pas cela très loyal. Je me repositionne encore deux fois, on me le fait, qui, je ne sais pas pourquoi non plus, et j’avoue que moi c’est le marathon de la fessée donc que des fessées. C’est ce que je pense.

A un moment, je revois vos chaussures, je regarde sur ma gauche, il y a Pascal contre le buffet ; je ne comprends pas pourquoi il n’a pas fessées, je ne pense pas avoir entendu le safeword venant de lui.
Quelques minutes après, j’entends des Maîtresses dire que j’ai gagné. Je reste en position mais je ne reçois plus de fessées. Que se passe-t-il je ne comprends pas vraiment.
Je suis donc déclaré vainqueur par ces Maîtresses. Je prends le temps de revenir de me remettre de ces émotions.
A ce moment-là, Maître Caïman me passe de la vodka sur le mot, et je sens mes coups de fouet se réveillaient et je lâche un 'ouille'. Il me demande si je veux qu’il mette de l’alcool. Je lui dis oui s’il veut.
je ne sens pas que c’est de l’alcool, qu’il s’agit d’alcool a 90 %.
Je vais vous retrouver et vous me faite signe de me mettre à vos pieds. Lorsque Maîtresse Angélique revient, Maîtresse Lisa dit que je me suis mis de la pommade avant de venir sur mes fesses. Hein, mettre de la pommade pour atténuer la douleur que j’affectionne, et puis quoi encore… ? Ce fut ma pensée sur le moment. Ma place est de ne rien dire. Je vous vois partir puis revenir avec une cravache à la main. Vous me faites tourner et je commence à prendre des coups, assez forts, je sens que je ne pourrais pas résister aussi longtemps que le marathon de la fessée. Je me bloque contre la paroi du congélateur mais un coup je comprends que celui-ci n’est pas stable donc je fléchis sur ma jambe au coup. Je souffre les coups me font mal. Je ne comprends pas pourquoi je prends ces coups. Une fois fini, je ne dis rien et me remets à vos pieds comme vous me le faites comprendre. Plus tard j’apprends que j’ai été corrigé pour tricherie. Au plus profond de moi, un petit diable avait envie de vengeance… mais sage je reste car je n’en pouvais plus, là. J’avais pris une bonne correction.
Lorsque vous m’autorisez à me relever, je me prends un verre d’eau. Puis j’aide à mettre les bonbons que j’ai ramené dans des verres pour ensuite les proposés aux invités. Je les propose aux Maîtresses autour de moi. Maîtresse Harmony Ortica propose de me voir ramasser les bonbons et elle les fit tomber par terre. J’ai dû me mettre à 4 pattes pour les ramasser. Lorsque je finis, Maîtresse Lisa, a tout fait pour me faire tomber les bonbons des mains. Je ne me laisse pas faire. Mais je cède pour laisser quelques bonbons tomber. Je les ramasse à nouveau et les mets dans un autre verre.
Puis les discussions reprennent moi a vos pieds et vous assise sur une chaise. Les premiers départs arrivent aussi. Nous restons un peu plus. Lors de notre départ, je pris le volant de votre voiture. Nous ramenons Maîtresse Harmony Ortica et son soumis loulou chez eux vers 6h30 je crois.

Nous prenons ensuite la route pour mon appartement  ou une nuit de sommeil bien mérité nous attend.


Je tiens à remercier Maîtresse Angélique pour son magnifique buffet et cette soirée.

je tiens à remercier Maîtresse Red pour la musique de la soirée et son bon entrain.

je souhaite remercier les personnes présentes que je ne connaissais pas avant de leurs accueils pour ma première venue par eux.

Je tiens a vous remercier Maîtresse pour m’avoir inscrit à ce premier Marathon de la fessée.



les deuxième boudoirs de Liloo


Le réveil sonne. Avec difficulté je me lève, je vais au petit coin. Je me lave ma tête, dans le brouillard, je m’habille, je mets ma tenue de Liloo sous ma tenue de mâle, pour aller au travail car après celui-ci je vous rejoins, Maîtresse, pour mon second boudoir. J’enfile mes bas, mon string noir et rouge, ma jupe puis mes chaussettes sous mon pantalon. Pour le haut, je mets mon soutien-gorge rouge et noir, mon chemiser blanc, et mon pull par-dessus ; Je me sens femme prisonnière dans le corps d’un mâle.

Toute la journée durant mon travail, je suis resté dans cette tenue.
Je pars vers 16h pour prendre la direction des Boudoirs de Maîtresse Léia. Avec la hantise d’arrivée en retard. Mon sac à dos sur l’épaule, je force le pas dans les couloirs du métro.

Arrivant près du club je vous vois devant la porte.
« Mince, je suis en retard, Maîtresse est déjà arrivée » cela fut ma pensée.
Je vous dis bonjour, et nous attendons, l’équipe du Boudoir pour nous ouvrir. Nous voyons au bout de la rue Maîtresse Harmony Ortica arrive avec un soumis. Suivi quelques minutes après par Patrick Vich qui nous ouvre les portes de l’antre de tous nos jeux et sévices.

Pendant que vous vous changez, Maîtresse, je m’acquitte du droit d’entrée auprès de Patrick à l’accueil. N’ayant plus de lieux pour se changer, je retire mon pantalon, mon pull, laissant ma jupe et mon chemisier apparaître. Je sors de mon sac à dos mes bracelets et mes colliers ; maladroitement je me bats avec ceux ci pour le mettre.
Lorsque je sors la perruque, je m’aperçois qu’elle s’est emmêlée dans le sac. Elle ressemble plus à Yorkshire sortant de l’eau. Elle est toute emmêlée malgré le brossage de la veille. Je la mets tout de même sur ma tête. J’assumerais les conséquences de cette mauvaise gestion de transport.
Entre temps, vous êtes descendue au bar, vous avez posé vos affaires sur la méridienne. Je vous rejoins je me mets à vos côtés mais vous me faites comprendre que je suis trop haute, je recule d’un pas pour descendre de la marche et je me trouve à votre hauteur.
Vous me faites comprendre qu’il faut que je reste a cotes des affaires, et pendant ce temps, vous vous exercez au fouet avec des amies Maîtresses dans un coin ou les canapés sont vides pour échanger sur vos techniques.

Vous revenez vers le comptoir, Maîtresse Léia vient vous murmurer quelque chose à l’oreille. Je vois son regard se tourner dans ma direction. Je me demande si ce sourire et ce regard pétillant me concernent.
Je baisse la tête en me disant que je vais avoir les fesses en pâture, je me demande à quelle sauce je vais être mangé. Vous vous dirigez vers moi, vous me demandez si j'ai écouté votre conversation. Je vous réponds que non, juste observé.
Je me demande ce que vous me réservez avec Maîtresse Léia. Quels sévices vais-je découvrir ?
Vous me faites lever, vous m’amenez en dessous de l’anneau de suspension. Et là, vous commencez à me lier les mains avec vos cordes. Vous me regardez, je comprends que le temps d’expier mon sourire narquois et mes maladresses est arrivé.
Je vois le rouge s’enrouler doucement et sûrement autour mes mains jointes. Ce ballet de cordes me fait a croire que cette corde est une cousine de « Snake ».

Vous me levez les mains pour les placer sous l’anneau, je vous aide à passer la corde dans celui-ci. Tout en discutant avec vos amies, vous me déboutonnez mon chemisier et vous me le placez devant mon visage, j’ai l’impression de ressembler à un paysan japonais avec le nœud du chemisier juste devant mon nez.
Prenant dans votre sac les baguettes, vous me les mettez sur le nez. Je sens un moment de solitude et de honte lorsque vous expliquez le pourquoi de cet emplacement anatomique à vos amies Maîtresses. D’ailleurs vous dites  « il va falloir que je le fasse percer ». Je comprends que ce piercing est prévu. Vous savez que je n’y suis pas opposé. Vous me faite tourner sur moi-même afin de montrer ma tête à l’assemblée. J’ai l’impression d’être une pièce de bœuf que des acheteurs contemplent lors que la vente.
Honteuse je baisse la tête et mon regard. Je ne vois que les choses devant moi comme un cheval de course avec ces œillères.
Je sens vos mains saisir ma jupe, vous la descendez en dessous de mes genoux laissant apparaître votre toile vierge.

« Clac », premier coup de fouet, le jeu commence. Snake a l’air d’avoir de l’appétit dès le premier coup. Je me surprends, pourtant j’aime cette douleur. Je comprends que chaque séance est différente, j’ai pris l’habitude par le commencement par des coups de martinet ou des coups de cravache.


Après quelques coups, dont certains assez bien placés et appuyés, Maîtresse Léia vous demande d’échanger vos soumis. Je ne fais pas ma fière, je me demande honteuse ce qui va m’arriver.
Maîtresse Léia rapproche sa soumise Erika face à moi.
Pendant que Maîtresse Léia sort ses cordes, vous attachez la laisse du collier d'Erika à mon bracelet droit en la faisant passer par l’anneau de suspension. Ensuite vous attachez mes bracelets ensemble. Maîtresse Léia attache Érika et nous l’aidons à passer la corde dans l’anneau lorsqu’elle nous l’ordonna. Désormais, Ce cercle nous unis Érika et moi. Par ce cercle nos liens sont tissé, j’ai cru être à une cérémonie d’une union, face à face, presque bouche contre bouche. Finissant d’attacher Érika, vous lui posez des questions sur le fouet, je vois Maîtresse Léia saisir le sien.

« Clash »
'Ouah' me dis je intérieurement. 'Ouch' pour le second coup, je ne peux fléchir dès le début. Liloo est une maso pas une chochotte, la douleur est ma drogue.

Maîtresse Léia se rapproche et vous demande si on peut me bander les yeux. Vous prenez votre tenugui, vous me le mettez contre mes yeux mais aussi avec les baguettes qui viennent sous le bandeau.
Dans votre échange avec Maîtresse Léia, vous lui signaler le fait que je suis une grande chatouilleuse.

Maîtresse Léia passe ces ongles sur mon corps dont sur mes cotes. Elle voit que je tente de me contenir. Je sens d’autres mains je joindre à Maîtresse Léia, ce sont les vôtres, Maîtresse. Là je ne tiens plus, je ne veux pas avoir l’air ridicule par mon rire, je ne veux pas gêner les autres mais rien n'y fait, l’éclat de rire vient. Il m’est impossible de résister à ces quatre mains, j’ai du mal à m’arrêter, à reprendre mon souffle. Je perçois des fenêtres de 5 secondes parfois, je tente de me calmer dans ce laps de temps mais non.
Maîtresse Léia et vous-même arrêtez, Elle vient se placer derrière moi et m’ordonne de rire sur commande ce que j’ai beaucoup de mal à faire. ET « vlan », un nouveau coup de fouet, je tente de rire mais j’ai du mal. Vous intervenez en disant que pour me faire rire vous me chatouillez. Je me suis senti perdu entre l’envie de douleur et la peur de rire.
Maîtresse Léia continue d’œuvrer sur mon dos, avec certains coups rapides, bruts, violents, tous agréables. Parfois je m’accroche à l’anneau car je me souviens que j’ai la laisse d'Erika relié à mon bracelet droit.

Maîtresse Léia revient à la charge avec des chatouilles mais cette fois-ci elle s’attaque à mon côté droit. Durant ces chatouille parfois Érika me donne des coups dans le nez et je souffre de ces coups, Maîtresse Léia ordonne a Erika de faire plus attention.
Mon esprit vacille entre la douleur des coups de fouet et les éclats de rire des chatouilles.
Je ne ressens plus les mains chatouilleuses sur mon corps mais d’un coup je sens le fouet venir caresser encore cette toile qui est offerte à Maîtresse Léia.

Vous suggérer de me faire faire l’alphabet à l’envers. Je commence a le faire mais perdu en les coups reçu et ce que j’entends. Je le recommence, une de vos amies dit : «  tiens il a repris au début ! »
Maîtresse vous répondez : « elle a perdu le fil, bah c’est mieux de recommencer »
Je dis « Z », puis «  Y » j’attends un coup de fouet mais je sens des fourmillements, je ne comprends pas tout de suite que cela vient de mes mains.
Je dis «x », puis je fais part des fourmillements dans mes doigts. Maîtresse Léia et vous-même me détachez de l’anneau pour que mes mains aillent mieux.
Vous me faite tourner, le tenugui a partiellement bougé, il ne couvre plus tous mes yeux. Vous me faites mettre à quatre pattes. Je reçois un premier coup sur le cou, je pense a un coup de fouet, mais je ne reconnais pas le coup, la douleur est intense, forte, et lente.
J’en oublie les fourmillements dans les mains, au contraire ils ont disparu. Certains coups me font me rouler en boule comme un hérisson. Je ne peux pas dire combien de coups ou de temps cela a duré.
Je me sens si vulnérable, j’ai une envie de craquer de dire pitié, stop, et d’un autre coté je veux connaître la douleur la souffrance.
Les coups s’arrêtent, votre voix me demande si mes mains vont bien je répondis que oui.

Vous m’ordonnez de me lever. Vous me placez devant Érika qui est à genoux. Vous m’avancez, puis vous me baissez mon string. Vous prenez la main d’Erika pour lui montrer mon clito de mâle. Je vous vois s’asseoir sur un fauteuil à ma droite. J’ai toujours mes mains liées.
Je sens une chaleur entourer mon petit haricot, cette chaleur vient et va. Erika joue avec mon gland dans sa bouche, et l’avale goulûment. Je sens doucement mon sexe grossir.

J’apprécie l’ironie de la situation, Liloo qui souhaite devenir une bonne sissy, une femme, qui se fait pomper par une soumise. Mon esprit se renferme, se compresse, dans des idées de mâles. Les yeux fermés, j’entends votre voix : «  laisse toi allez, tu peux en profiter. Profites en bien ».
J’ouvre les yeux et vous vois sur un fauteuil à ma gauche, avec un grand sourire, et mon envie qui arrive. Je sens un coup de langue sur mon gland, je lâche tout ma semence. Erika aspire mon jus au point que je ne sais plus si c’est moi qui lui donne ou si c’est elle qui la prend. Je me sens vide et aussi honteuse d’avoir autant éjaculé dans cette bouche merveilleuse.
Vous vous levez pour nous rejoindre, je pense que j’aimerai rendre la pareille à Erika. L’émotion de cette jouissance me laisse muet. Vous dites à Erika que c’est la première fois que je me fais sucer par un homme. Erika vous réponds qu’elle m’a trouvé à la hauteur. Vous me regardez, je réponds que je l’ai trouvé merveilleuse. Vous me déliez les bras. Je me place aux vos pieds dans l’attente de nouveaux ordres, devant la table et les canapés près de l’escalier. Je vous vois partir avec une cigarette prendre la direction du fumoir.
A votre retour vous passez devant moi comme si je n’étais pas là. Je vois que vous vous occupez d’un autre soumis dans l’assistance. A un moment, Maîtresse Harmony Ortica me demande si je suis punie. Je lui réponds que j’attends vos ordres.
Plus tard, Maîtresse Harmony Ortica , me demande d’aller lui chercher une boisson. Vous êtes toujours occupée. Je réponds à la demande de Maîtresse Harmony Ortica en m'exécutant.
Vous me regardez et je comprends que je dois me placer a vos pieds alors je viens m’y placer. Je m’assois à vos pieds contre la méridienne. Puis Vous allez jouer avec Maîtresse Léia et un autre soumis dans la pièce où se trouve la croix de saint André et le banc prie dieu. Durant cette attente, j’ai pu assister a une prestation de bondage américain par Maître Paul.

Maîtresse Lou Van Lyck s'assoit a côté du soumis qu’elle a bondé plus tôt dans la soirée. Elle le détache puis me demande de lui replier ses cordes,  ce que je fais. Mettant du temps à faire la première corde, Maîtresse Lou Van Lyck décide de pimenter les deux autres en me mettant un loup sur les yeux.
Pour mieux comprendre mon geste, je ferme mes yeux, je réussi à faire la première sans trop de soucis. Trop confiante pour la seconde, je m’énerve sur la fin et je recommence tout. Je dépose les cordes sur la table où se trouvent les autres.

En me retirant mon loup, je vois Maîtresse Harmony Ortica dans le jeu de bondage américain. Je vois un spectacle magnifique.
A un moment Maître Paul demande a Maîtresse Harmony Ortica si sa partenaire  «  monte ».
A la réponse, Maître Paul commence doucement a délier les cordes. Je vois la jeune femme « être en transe ». Maîtresse Harmony Ortica reste auprès d'elle en lui parlant pour la faire redescendre doucement. Pendant que les liens se défont, elle revient doucement elle aussi.

Je vous vois arriver, et vous me faites signe que nous n’allons pas tarder à partir car l’heure de la fin approche.
Les convives remontent tranquillement vers l’accueil. Chacun se rhabille à tour de rôle dans les toilettes ou le fumoir. Puis certains se donnent rendez-vous pour manger ensemble et continuer une troisième mi-temps.
Vous prenez la décision de rentrer chez vous.


Je vous accompagne jusqu’à votre voiture après que nous nous soyons dit au revoir à tous vos amis.

Je tiens à remercier toutes l’équipe du boudoir de Léia pour cette magnifique soirée.

Je tiens à remercier toutes les amies de ma Maîtresse que j’ai croisée lors de ce boudoir.

Je tiens à remercier Maîtresse Léia pour l’œuvre sur le patchwork de ma Maîtresse.

Je vous remercie Maîtresse O du Moulin de m’emmener dans cette soirée.

mardi 14 mai 2013

une touche fétish dans votre morceau ... ?

s'il vous plait oui ...

Un samedi soir imprévu


Minuit, l’heure du c… ah non mon téléphone sonne.

« C’est Maitresse, j’ai un petit souci. Si tu veux, tu peux venir me rejoindre.  Atika de Paris souhaiterais te rencontrer » «  euh, bah, euh,… oui bon j’arrive … il faut que j’habille mais je ne serais pas maquillé » « Habille toi et viens alors » «  Bien avez-vous une exigence pour la tenue ? » «  Comme hier, en club, même lingerie, même tenue, non mets ta robe blanche et marron, tu es mignonne dedans. » «  Bien Maitresse, je me prépare et je fais aussi vite que possible. » Je me suis préparé en 10 minutes, j’ai pris ma voiture et me voilà en route pour C & C .

Arrivé dans le quartier du club, les parkings fermés, je tourne pendant 25 minutes avant de prendre la décision de me garer sur une place de livraison.  J’attrape mon sac à dos et pars en direction le club. Je sonne à la porte du club. Pascal m’ouvre, je me présente, il me fait un grand sourire. Etant tous les deux à l’accueil, je me change devant lui. Au revoir pantalon et chemise de male, lorsque j’enfile ma robe, j’entends crac … Oups, bon je crois que l’élastique vient de dire lui aussi au revoir. Je mets mes escarpins. Je descends les escaliers en perdant ma robe dont ma pauvre poitrine plate ne retient pas vraiment :’( .

Je vous vois avec vos amis sur le canapé devant l’escalier.  J’arrive, je vous fais vous baise-main et à vos amies aussi. Puis je me place à vos pieds. Vous me racontez rapidement le pourquoi de ma venue.  Je vois autour de votre cou, votre nouveau jouet, par sa couleur et sa matière il ressemble à un serpent. Autour de votre cou, il semble endormi mais sur le qui-vive tout de même. Puis vous me présentez-vous amies Maitresse Atika Paris et carrie Moss. Vous dites que je suis arrivé, nous allons pouvoir jouer, vous décidez avec vos amies d’aller dans la pièce à l’étage. Il avait un maitre qui installé un appareil de torture des seins sur sa soumise. J’avais un peu de mal a trouver le nom de ce jouet. Nous rassemblons nos sacs et affaires dans un coin de la pièce. Puis ensuite vous m’ordonnez de bouger le chevalet de travail en le placant contre le mur, afin que vous puissiez utiliser votre fouet plus aisément. Une fois le chevalet de travail contre le mur, je me mets contre lui.  Le premier coup de fouet fut pour moi différent des autres que vous me donniez. Celui-ci, je le sens plus précis, plus direct, plus franc, plus lourd aussi.  Vous me donnez quelques coups, Je sens que le fouet est neuf.  Cela est différent, de plus ce soir, je dois montrer qui est liloo mais le vrai défi pour moi. C’est d’encaissé autant que la vieille alors que je sens une double douleur à chaque coups car ceux d’hier se font ressentir aussi. Apres un petit moment, vous faites retirer ma robe pour que le fouet claque mieux et ne sois plus freiner par ce tissu indésirable. Une autre salve de coup arrive, un premier constat me vient à l’esprit. Vous maitrisez votre fouet car les coups sont d’une précision je le ressens lorsque votre fouet vient caresser de la langue fourchue ma fesse gauche. Puis Vous vous arrêtez, vous passez la Main à Maitresse Atika. Au premier coup, je compris, que mon niveau était faible. J’avais encore à apprendre sur ma douleur. Maitresse Atika a de l’expérience dans les fouets, j’entends celui-ci tournoyé autour de sa tête avant de s’arrêter sur mes fesses. Certains coups me font broncher, je me plis mais me replace. J’aime cette douleur comme un fumeur sa cigarette.  Maitresse Atika veut me voir à quatre pattes. Maitresse vous lui dite qu’il n’avait qu’a ordonné. Puis vous discutez du chevalet.  Maitresse vous m’ordonnez de le mettre près du miroir afin d’avoir de la place pour le fouet. Ordre donné, ordre exécuté, tel est l’une des devises des Sissy. A ce moment, je m’installe sur le chevalet. Maitresse Atika m’ordonné de ne plus l’appeler Maitresse mais Mademoiselle. Je lui répondis « compris, Mademoiselle Atika ». Ensuite Mademoiselle Atika et vous m’attachez les pieds et les mains. Pour les mains il a des poignets de force sur le chevalet. Par contre il manque une sangle pour un pied, alors vous sortez vos cordes. Et vous m’encordez les pieds au chevalet de travail. Je ne peux plus bouguer mes pieds je suis immobilisé sur le chevalet cette fois ci.  Mademoiselle Atika reprend le fouet, une salve de coups arrive plus fort, plus intense, plus violent. J’ai du mal à gère ma respiration, mon expiration. A plusieurs reprises vous me reprenez Maitresse, mais je n’y arrive pas, je ne comprends pas. Les larmes de honte montent en moi, je ne comprends plus, j’ai du mal tenir, mes coups d’hier se réveillent, ceux d’aujourd’hui me chauffent, me brulent. Puis d’un coup, mon corps prend la décision de s’exprimer, un son sort de ma gorge, de ma bouche un cri. Un CRI, je m’exprime, ma douleur s’exprime. J’expire par ce cri.  J’ai toujours cru que le cri était douleur. Mais non il est libérateur de la douleur. Alors quand je ne gère plus ma respiration, je me laisse allez.  Mademoiselle Atika s’arrête.  Maitresse vous venez prêt de moi pour savoir si je vais bien. J’entends vos paroles, je les lis sur vos lèvres mais mon corps a dépassé mon esprit mon corps ne réponds pas, mon esprit vous dit, oui ça va, oui c’est chaud, oui c’est bon. Mon corps lui dit qu’il est toujours en transe.  Là Maitresse, vous décidez de me cirer le dos, n’ayant pas de bougies avec vous. Vous attrapez une bougie du comptoir et vous l’allumez. Vous expliquez à Mademoiselle Atika et Carrie, que vous n’avez pas besoin d’acheter des bougies à basse température avec moi. Au même moment je sens la première goute sur mon dos. La cire me détend et vous le savez. Au bout d’une dizaine de minutes certainement aussi par manque de place. Vous vous arrêtez et la Mademoiselle Atika propose deux choix pour retirer la cire, le fouet ou …. Je réponds le fouet directement. Je reprends mes esprits, je sens des doigts qui tentent de me chatouiller. Mademoiselle Atika vous voit faire et viens de joindre à vous. Je me retiens, je me contracte. Mais je sens dans vos chatouilles, une conversation avec Bilbon. Je sens vos doigts tâter mes zones sensibles puis d’un coup je craque littéralement. C’est mon premier fou rire. Mademoiselle Atika me chatouille le côté gauche et vous le côté droit. D’un coup je me prends un coup de cravache bien placé sur les fesses qui me font un mal de chien une douleur beaucoup plus forte que le fouet. Mademoiselle Atika dit qu’elle sera absente au marathon donc il fallait bien m’entrainer.

Ce coup fut le premier d’une longue série mélange entre mes fou rires provoqué et les coups de cravache. A un moment, je ne savais plus si je devais rire ou pleurer car j’ai cru que j’allais pleurer. Impossible pour moi de gère les rire et la douleur en même temps, je suis submergé par ses deux sensation contradictoire. Je me tortille sur le chevalet au point de le faire bouger avec moi.
Puis vous arrêtez, me voyant ne pas répondre à vos paroles, vous m’appelez par mon préfixe de mal ben. Je reviens de suite, honteuse car je ne veux pas de ce nom lors de nos jeux mais vous connaissez mieux les jeux que moi.  Vous êtes ma Maitresse à qui j’ai offert mon corps. Mademoiselle Atika demande à Carrie si elle veut se joindre à vous deux pour jouer avec Moi. Carrie préfère passer son tour pour cette fois ci. Ensuite, vous décidez me laisser souffler, respirer avant d’aller fumer une cigarette, vous me détachez. Je me laisse redescendre tranquillement pour être sur de tenir sur mes jambes.  Je descends du chevalet. Vous m’ordonnez de me rhabiller et de vous retrouver au fumoir. Un peu abasourdit par ce jeu, je m’habille avec un peu de mal et surtout une robe qui ne tient plus vraiment. Je vous rejoins au fumoir, je pose mon sac au sol, et perds un peu l’équilibre ce qui vous fait sourire Maitresse.  Mademoiselle Atika m’appelle la rejoins dans le fumoir, je m’accroupis comme toute sissy éduqué, au pied de sa maitresse ou aux pieds ces amies qui l’ont utilisé pour jouer. Mademoiselle Atika me pose cette question avec une réponse ouverte : «  Alors tu en penses quoi ? Tu as eu peur ? » Ma réponse vous à toutes surprise :  «  oui, j’ai eu peur des chatouilles, car j’ai des réflexes. J’ai peur que ces reflexes blessent. Heureusement dans les jeux je suis attaché. Sinon les coups étaient puissants. C’est une expérience agréable. Je vous en remercie Mademoiselle. » J’avoue qu’être sur accroupit à ce moment précis est une aide car je ne sentais pas mes jambes me soutenir. Ensuite nous sommes redescendus un moment pour prendre un verre et discuter. Quand je dis-nous, c’est plutôt vous Mesdames qui discutaient, moi je suis resté au pied de maitresse, à redescendre encore. Je savourai ma séance, le chaud de mes fesses. Je sens mes fesses dessinées. Le parquet lui faire du bien à cette peau chaude.

Puis l’heure vient de partir et de rentrer chez soi. Le temps que vous changez, Mademoiselle Atika et Carrie partirent fumer une cigarette. Moi discrètement devant le comptoir de l’accueil, je remets mon pantalon et ma chemise. Je range mes affaires dans mon sac à dos. En sortant du fumoir, Mademoiselle Atika me cherche du regard, Vous lui montrez que je suis à vos côtés et que je ressemble un mec comme je suis là. Que mon aspect change complètement. Puis après une longue conversation devant le club avec pascal, nous nous sommes séparés pour rentrer chacune chez soi.

Je tiens à remercier Maitresse pour cette séance qui m’a encore appris des choses et de cette rencontre avec Mademoiselle Atika et Carrie. Je tiens à remercier notre hôte de la soirée Pascal pour sa gentillesse. Je tiens à remercier Mademoiselle Atika pour cette rencontre et aussi pour ce qu’elle m’a appris, le sens d’un cri et le plaisir d’être en ces mains, merci. Je tiens à remercier Carrie pour son sourire et cette rencontre.

Liloo... Pin Up style


Les gouters du Divin Marquis

With the courtesy of  Les gouters du Divin Marquis (qui ont les droits sur ces images)

lundi 13 mai 2013

Les premiers gouters de Liloo

Pas en avance, je reçois votre texto pour me signaler que votre départ. Il me reste donc une heure avant votre arrivée. Je fais les cent pas dans l’appartement. Je ne réfléchis pas à ce dont j’ai besoin et donc plein de pas inutiles. J’ouvre le portail pour vous permettre de ne pas chercher de place dans la rue, puis je vais prendre ma douche en mode lièvre.

Je continue donc je me préparer, je découvre une chose encore inconnu, la fameuse question :
« Je m’habille comment ? »

Sur mon billard se trouvent des affaires que j’ai récupéré avec mon matériel photo.

J’opte pour mon ensemble de lingerie mauve que j’affectionne particulièrement. Mince, je dois faire mes ongles de pieds, je prends tout le maquillage pour les faire dans le salon. En petite tenue, je m’apprête à me vernir les pieds lorsque j’entends le moteur de votre voiture. Vous arrivez à la hauteur de la baie vitrée. En ouvrant la fenêtre, je vous convie à entrer dans mon antre. Je vous explique mon retard. Je vous offre ensuite un café fraîchement coulé. Pendant que vous dégustez votre café, je me vernis les ongles de pieds.

Étant pressé par le temps, et attendus pour des photos que vous devez faire pour un flyer, je m’habille après avoir vernis mes pieds. J’enfile mes bas, ma jupe noir,e mon chemisier, mes escarpins. Le temps que vous répondiez au téléphone je me cherche un manteau dans le placard. Le premier n’ayant pas de succès, j’attrape un manteau long qui convient davantage.

Nous sortons de l’appartement et je ferme celui-ci, puis le portail en évitant de m’enfoncer avec mes talons.
Sur le trajet, je vous avoue que c’est ma première sortie en Liloo. Vous me rétorquez :

« Je ne t’ai pas forcé, c’est ton choix. »

« Oui c’est vrai, Maîtresse, je me sens en confiance. J’avoue que seule je n’ose pas. »

Maintenant je crois que je vous gardais cette primeur Maîtresse. Certes cela est inconscient.
Dans le quartier du club, ne trouvant pas de place, vous décidez d’aller au parking public.

En sortant de la voiture et nous dirigeant vers la sortie, nous allons vers l’ascenseur. Ne passant pas inaperçu avec mon 1m89 sur mes talons aiguilles, un couple me regarde, je les ai senti, ces regards.
Par contre devant l’ascenseur, vous me signalez que deux des gardiens avaient maté mes jolies gambettes de traînée. Intérieurement, j’ai rougi et aussi je me suis senti fière. Dans la rue, j’essaye d’éviter les obstacles comme les grilles tout en vous suivant. Votre pas est un peu rapide pour moi qui n’a pas l’habitude de marcher dans la rue avec mes escarpins.

Vous me signalez que nous sommes repérés à 15 mètres du club. Effectivement Philippe est à l’extérieur, il vous a reconnu. Vous lui dites bonjour et vous me présentez il me fait un grand sourire.

Une fois à l’intérieur, pendant que vous vous changez, je paye le droit d’entrée. Philippe en profite pour me taquiner sur ma tenue mal mise, sur mon maquillage manquant. Je ne fais pas ma fière.
Vous donnez votre sac pour le vestiaire et nous descendons dans l’antre du diable. Vous nous dirigez vers le bar, où vous commencez une discussion avec la barmaid. Après une réflexion de votre part, je descends de la marche pour être plus basse que vous. Car avec mes talons je vous dépasse aisément d’une bonne tête. Pendant la dégustation de votre Get 27, vous demandez à la serveuse si vous pouvez emprunter le fouet souple puisque le vôtre arrivait le lendemain. Vous me voyez faire un petit sourire malgré ma tête baissée.
Mais cela je le payerai un peu plus tard. Une fois votre verre fini, vous m’ordonnez de me diriger dans la salle du prie dieu. Puis vous m’ordonnez de m’installer un peu plus vite que ma vitesse actuelle. Je baisse ma jupe, mon porte-jarretelle au niveau de mes genoux. Puis je m’installe. Les premiers coups me chauffent le cuir de la bête comme vous dites. Les coups commencent à s’accélérer dont un que je sens bien.
Celui-là ça devrait être pour le sourire. Les coups continuent à pleuvoir sur mes montagnes, votre main de fer dans votre gants de velours comme j’aime dire. Certains coups me font tortiller et donc j’arrive à faire baisser ma jupe et en perdre une chaussure.

Pendant un bon moment, on entend un fouet claquer, des personnes viennent voir votre talent s’exercer sur mes monts tels un peintre sur la toile où il conçoit son œuvre. Vous décidez d’une pause. Je réponds à votre question, je vais bien, ma fesse gauche est juste un peu jalouse de l’autre.
Après cette pause durant laquelle vous allez fumer une cigarette, je me relaxe, me repose mais ne bouge pas. A votre retour, je comprends le fait de ne pas inciter par mes paroles. Ma fesse gauche connaît le même sort que sa sœur qui n’en rougit pas de jalousie non plus.

Certains coups me font m’avancer en déboîtant le coussin et me le mettant dans mes cotes. Avec ces coups, j’en perds mon porte jarretelle et ma perruque mon pauvre Yorkshire...
Elle ne pouvait plus, elle, supporter les coups peut-être. Je bloque le coussin avec mes coudes contre moi. De cette façon, je ressens différemment les coups, ils sont plus intenses.

Puis vous décidez d’arrêter, en me disant que vous avez chaud. Que moi, je ne prenais que les coups. En vous rapprochant vous me demandez si je trouve une différence en ce fouet et celui au manche rigide que vous avez. Je vous réponds : «  vivement que votre fouet arrive, car je trouve que vous manipulez celui-ci plus précisément. »

La douleur est plus … merveilleuse pour mes fesses… oui je suis une grande maso … Maîtresse vous l’avez vu en moi dès notre première rencontre.

Vous me dites que lorsque je me sens près je me lève et nous allons nous installer dans le salon des fauteuils.

Nous nous installons à un fauteuil près d’une porte et moi à vos pieds où est ma place.

Vous sortez des baguettes chinoises et des élastiques. Vous me regardez en me disant : «  tu as bien compris, allez ! »
Je sors ma langue et vous me mettez dans un carcan de baguette, mais ma langue décide de jouer avec elles.
Au bout de la seconde fois, je me retrouve avec le nez coincé dans les baguettes. Je reste au pied de la chaise avec mes baguettes sur le nez durant une bonne période. Philippe qui passe à côté de moi, joue à l’hélicoptère.  Je découvre à ce moment précis que mon nez peut lui aussi amener des douleurs. J’ai aussi l’impression que mon nez est bouché comme si j’avais un rhume. Après avoir été fumé, vous m’envoyer chercher des boissons. Je vous prends une coupe de champagne et un verre d’eau pour moi.

Il m’est impossible de boire avec les baguettes, je regarde donc mon verre sur la tablette.
Le temps passe, je reste assise à vos pieds. Les gens me regardent avec un sourire un peu moqueur. Cela ne me rend pas fier de moi. A un moment, vous décidez de me retirer mes baguettes, et je fis un 'ouah ! '. Mon sang venant dans le nez, je le sens de nouveau. Il me fait plus mal qu’entre les baguettes.

Puis je peux boire mon verre, 10 minutes après vous me signalez que nous partons du club.

En retournant à la voiture, je sens les regards sur moi, les hommes mais aussi les femmes. Cela me flatte, j’ai aussi une envie de me cacher.

Je vous remercie pour cette séance en club Maîtresse, Merci de m’avoir laissé sortir en Liloo.
Je remercie Philippe et son équipe pour mon premier goûter.

Liloo sous le fouet au Gouters du Divin Marquis

Premier essai de fouet souple court avec Liloo au Gouters du 10 Mai



Mon nouveau bébé ... Snake


Snake, mon bébé. Des semaines que je t'attendais, que je t'espérais et te rêvais. Et enfin te voilà. Enfin entre mes mains. Enfin je peux passer mes doigts sur ton corps soyeux. Entendre ton sifflement. Te regarder claquer. 

Enfin !

C'est une longue et belle histoire d'amour qui commence.

mercredi 1 mai 2013

Séance du 28 Avril


J’arrive devant votre porte. Je frappe celle-ci avec mon doigt (sale habitude de mâle  L)
Vous me dites : «  entre, c’est ouvert .»
J’entre et je comprends que vous êtes encore dans la salle de bain. J’en profite pour retirer mes vêtements de mâle afin d’être liloo.  J’enfile ma jupe noire, t-shirt blanc, soutien-gorge,porte jarretelle, string de même ensemble, et les bas noir.
Je sors enfin ce qui fait maintenant fait de moi une travestie, cette achat de la veille, mes escarpins.
Je les mets,  puis je vais au frigidaire pour y mettre la bouteille de champagne que je vous ai promis.
Je pose sur le bar la bouteille de vin blanc qui fait partie vos péchés mignons,ce panaché de Cyrano.

Je sors ma trousse de maquillage, je me mets un peu de fond de teint puis mon rouge à lèvres.
Vous sortez de la salle de bain.  Je vous honore d’un baise Main. Vous voyez la bouteille de panaché de Cyrano. Vous faites un grand sourire, en me disant que vous n’arrivez plus à en trouver près de chez vous.
Je prends ma boite de maquillage pour la rangée. Vous me dites d’un ton déçue :« C’est tout, tu ne te maquilles pas plus ? »
Vous prenez la boite. Vous vous asseyez sur la chaise et vous me mettez à vos pieds.  Je suis accroupi sur mes escarpins, ma tête à la hauteur de vos genoux.  Telle une poupée a maquillé, je me sens un peu bête, comme la jeune fille dont sa mère la maquille pour la première fois.
J’écoute  vos mots, vos dire, vos ordres durant l’élaboration du tableau. Mes réflexes vous font sourire. Cela me trouble.
Je me referme mentalement de bonheur et de honte : Honte de ne pas savoir me maquiller seule.
Lorsque vous me mettez le crayon sur bas de œil. Mes yeux vous gênent avec leurs clignements. Vous laissez le crayon. Je vous demande si je peux essayer à mon tour.Mais je n'y arrive pas non plus.
En refermant ma boite de maquillage, vous me faite comprendre qu’il va falloir que j’apprenne à me maquiller seule. J’acquiesce en baissant la tête.
Me levant, je trouve avec un peu de mal mon équilibre. Vous m’ordonnez d’avancer jusqu’à la poutre des sévices. Ayant mis mes mains dans le dos, je m’attends à ce que vous les attachées. Mais au lieu de cela, je reçois un coup de martinet sur les fesses.
Le vent des coups passent sous ma jupe la relevant, un petit peu. Je baisse la tête, je ferme les yeux pour mieux ressentir les coups. Deux sensations se présentent en moi.
La première, j’ai enfin les chaussures manquantes à mon travestissement, je me sens enfin liloo . Malgré que je ne suis pas habitué, je ressens le talon aiguille au milieu de mon talon.
La seconde, cette position au même endroit que la dernière séance.  Aujourd’hui je ne serais pas attaché physiquement mais cérébralement oui.
Dans le dos, je prends des coups plus fort, plus doux.  Vous me dites :
« Le cuir doit être bien tanné pour ta prochaine session avec Lou , tu pourrais peut être aller jusqu’a 20 coups ». Ces paroles me font peur, je m’imagine m’écrouler au bout du 13-14ème coups. Mais elles me font aussi honneur dans le sens que lors de cette dernière séance avec Maitresse Lou j’ai été à votre hauteur, Maitresse.  J’ai fait ce qu’il fallait pour être votre bonne Sissy.
Dans cette chaleur merveilleuse où mon esprit se délecte,  Vous me répétez deux fois de mettre mes bras devant.
Mes mains en appuient sur la poutre, une salve de coups vient caresser la surface de mes monts enflammés.
Me voyant souffrir de mes pieds, vous nous accordez une pause où vous me dites de retirer mes chaussures.
Une fois mes escarpins retirés, je reprends ma place devant la poutre, les mains sur celle-ci .
Je sens le premier coup enchainé par un second, puis un autre plus rapide.  Pour mieux géré la rapidité des coups, je le suis. Mais vous voyez le subterfuge et vous accélérez les coups me contraignant à jouer la bouteille d’Orangina que l’on secoue.
A un moment, je lâche prise,je me penche sur ma droite, mais je reprends ma position tête baissé comme toute sissy qui se respecte.
Vous arrêtez là, Vous faites une pause cigare. Vous me tentez le drap en latex en me disant :
« Puisque tu l’as apporté, installe le, cela fait longtemps que je n’ai pas joué avec la cire. »
J’installe le drap devant la télé, je l’ouvre en grand même s’il manque de la place, j’en trouve.

Vous me dites de retiré mon t-shirt et mon soutien-gorge. ET de me placer.
Je m’exécute, je me mets à quatre pattes sur le drap, le dos cambré les bras tendus, et j’attends.
Je sens d’un coup un peu pic chaud puis un étalement, puis une goutte avec la même sensation.
Une pluie de gouttelette tombent sur mon dos, dont certaines restent au même endroit, j’entends Votre briquet allumé une autre bougie, celle la me semble peu plus chaude puis non …
je laisse aller ma tête de gauche a droite, de droite a gauche, je suis en transe,mon esprit se paye le luxe d’aimer, de faire l’amour cérébral à chacune des gouttes de cire qui touchent mon corps. D’ailleurs je ressens que vous avez perçu mon adoration pour ces bougies.
Je vous entends plus, puis d’un coup j’entends le déclencheur de votre appareil photo. Durant cette pause j’en profite pour mettre mes bras sur les coudes devant moi ce qui vous montre plus ma croupe en feu. Mon con étant plus exposer que précédemment, Il vous est plus favorable pour le câliner de vos douceurs.
Je sens d’un coup, une pointe me traversant le dos puis retirer doucement puis sèchement la cire en se promenant sur moi.  Je compris là, voir un vieil ami, qui fut affuté cette fois ci. Je sentis bien la pointe dans ma peau, ce petit pique, pointe, je ne sais comment l’expliquer mais ça m’a surpris. J’apprends à savourer ce métal sur ma peau.
Un blanc, tiens donc que je passe t …. Non, un coup,  je ne reconnais pas l’accessoire utilisé. Pourtant cette douleur m’est familière. Je me laisse aller, je suis les coups,  je les absorber pour le appréciés et j’en perds mes cheveux, ma perruque me quitte. Voulait-elle ne plus subir,cette douceur de douleur ???
J’entends de nouveau l’appareil photo puis vous me montrer les photos.
Et là je m’allonge sur le drap, pour récupérer un court instant. Le temps que Vous fumez votre cigarette. A votre retour, je veux me relever mais votre pied m’empêche.Dans le même temps, vous me dites que ma position est parfaite. Vos pieds me poussez, me malaxez  comme une pâte à tarte. Tel le boulanger malaxe son pain avant de l’enfourner. Je tente de résister mais je suis à un moment vos pieds qui me poussent. Puis vous vous relevez,partez . En relevant vous me donnez un petit dans mon tucking. Et vous vous arrêtez la pour cette séance car l’heure avançant. Vous devez vous préparez pour un rendez-vous dans la soirée.
Je me relève, je range , mes affaires dont le draps, me rhabille en vous remerciant de cette Séance .
Et répondant positivement a votre question si j’avais eu ma dose.

Je tiens à vous remercier pour cette séance Maitresse. J’ai encore découvert des choses, dépasser mes limites. Vous m’avez fait un jeu de cire avec des bougies ordinaire. Je n’aurai jamais pensé pouvoir les tenir.