mercredi 1 mai 2013

Séance du 28 Avril


J’arrive devant votre porte. Je frappe celle-ci avec mon doigt (sale habitude de mâle  L)
Vous me dites : «  entre, c’est ouvert .»
J’entre et je comprends que vous êtes encore dans la salle de bain. J’en profite pour retirer mes vêtements de mâle afin d’être liloo.  J’enfile ma jupe noire, t-shirt blanc, soutien-gorge,porte jarretelle, string de même ensemble, et les bas noir.
Je sors enfin ce qui fait maintenant fait de moi une travestie, cette achat de la veille, mes escarpins.
Je les mets,  puis je vais au frigidaire pour y mettre la bouteille de champagne que je vous ai promis.
Je pose sur le bar la bouteille de vin blanc qui fait partie vos péchés mignons,ce panaché de Cyrano.

Je sors ma trousse de maquillage, je me mets un peu de fond de teint puis mon rouge à lèvres.
Vous sortez de la salle de bain.  Je vous honore d’un baise Main. Vous voyez la bouteille de panaché de Cyrano. Vous faites un grand sourire, en me disant que vous n’arrivez plus à en trouver près de chez vous.
Je prends ma boite de maquillage pour la rangée. Vous me dites d’un ton déçue :« C’est tout, tu ne te maquilles pas plus ? »
Vous prenez la boite. Vous vous asseyez sur la chaise et vous me mettez à vos pieds.  Je suis accroupi sur mes escarpins, ma tête à la hauteur de vos genoux.  Telle une poupée a maquillé, je me sens un peu bête, comme la jeune fille dont sa mère la maquille pour la première fois.
J’écoute  vos mots, vos dire, vos ordres durant l’élaboration du tableau. Mes réflexes vous font sourire. Cela me trouble.
Je me referme mentalement de bonheur et de honte : Honte de ne pas savoir me maquiller seule.
Lorsque vous me mettez le crayon sur bas de œil. Mes yeux vous gênent avec leurs clignements. Vous laissez le crayon. Je vous demande si je peux essayer à mon tour.Mais je n'y arrive pas non plus.
En refermant ma boite de maquillage, vous me faite comprendre qu’il va falloir que j’apprenne à me maquiller seule. J’acquiesce en baissant la tête.
Me levant, je trouve avec un peu de mal mon équilibre. Vous m’ordonnez d’avancer jusqu’à la poutre des sévices. Ayant mis mes mains dans le dos, je m’attends à ce que vous les attachées. Mais au lieu de cela, je reçois un coup de martinet sur les fesses.
Le vent des coups passent sous ma jupe la relevant, un petit peu. Je baisse la tête, je ferme les yeux pour mieux ressentir les coups. Deux sensations se présentent en moi.
La première, j’ai enfin les chaussures manquantes à mon travestissement, je me sens enfin liloo . Malgré que je ne suis pas habitué, je ressens le talon aiguille au milieu de mon talon.
La seconde, cette position au même endroit que la dernière séance.  Aujourd’hui je ne serais pas attaché physiquement mais cérébralement oui.
Dans le dos, je prends des coups plus fort, plus doux.  Vous me dites :
« Le cuir doit être bien tanné pour ta prochaine session avec Lou , tu pourrais peut être aller jusqu’a 20 coups ». Ces paroles me font peur, je m’imagine m’écrouler au bout du 13-14ème coups. Mais elles me font aussi honneur dans le sens que lors de cette dernière séance avec Maitresse Lou j’ai été à votre hauteur, Maitresse.  J’ai fait ce qu’il fallait pour être votre bonne Sissy.
Dans cette chaleur merveilleuse où mon esprit se délecte,  Vous me répétez deux fois de mettre mes bras devant.
Mes mains en appuient sur la poutre, une salve de coups vient caresser la surface de mes monts enflammés.
Me voyant souffrir de mes pieds, vous nous accordez une pause où vous me dites de retirer mes chaussures.
Une fois mes escarpins retirés, je reprends ma place devant la poutre, les mains sur celle-ci .
Je sens le premier coup enchainé par un second, puis un autre plus rapide.  Pour mieux géré la rapidité des coups, je le suis. Mais vous voyez le subterfuge et vous accélérez les coups me contraignant à jouer la bouteille d’Orangina que l’on secoue.
A un moment, je lâche prise,je me penche sur ma droite, mais je reprends ma position tête baissé comme toute sissy qui se respecte.
Vous arrêtez là, Vous faites une pause cigare. Vous me tentez le drap en latex en me disant :
« Puisque tu l’as apporté, installe le, cela fait longtemps que je n’ai pas joué avec la cire. »
J’installe le drap devant la télé, je l’ouvre en grand même s’il manque de la place, j’en trouve.

Vous me dites de retiré mon t-shirt et mon soutien-gorge. ET de me placer.
Je m’exécute, je me mets à quatre pattes sur le drap, le dos cambré les bras tendus, et j’attends.
Je sens d’un coup un peu pic chaud puis un étalement, puis une goutte avec la même sensation.
Une pluie de gouttelette tombent sur mon dos, dont certaines restent au même endroit, j’entends Votre briquet allumé une autre bougie, celle la me semble peu plus chaude puis non …
je laisse aller ma tête de gauche a droite, de droite a gauche, je suis en transe,mon esprit se paye le luxe d’aimer, de faire l’amour cérébral à chacune des gouttes de cire qui touchent mon corps. D’ailleurs je ressens que vous avez perçu mon adoration pour ces bougies.
Je vous entends plus, puis d’un coup j’entends le déclencheur de votre appareil photo. Durant cette pause j’en profite pour mettre mes bras sur les coudes devant moi ce qui vous montre plus ma croupe en feu. Mon con étant plus exposer que précédemment, Il vous est plus favorable pour le câliner de vos douceurs.
Je sens d’un coup, une pointe me traversant le dos puis retirer doucement puis sèchement la cire en se promenant sur moi.  Je compris là, voir un vieil ami, qui fut affuté cette fois ci. Je sentis bien la pointe dans ma peau, ce petit pique, pointe, je ne sais comment l’expliquer mais ça m’a surpris. J’apprends à savourer ce métal sur ma peau.
Un blanc, tiens donc que je passe t …. Non, un coup,  je ne reconnais pas l’accessoire utilisé. Pourtant cette douleur m’est familière. Je me laisse aller, je suis les coups,  je les absorber pour le appréciés et j’en perds mes cheveux, ma perruque me quitte. Voulait-elle ne plus subir,cette douceur de douleur ???
J’entends de nouveau l’appareil photo puis vous me montrer les photos.
Et là je m’allonge sur le drap, pour récupérer un court instant. Le temps que Vous fumez votre cigarette. A votre retour, je veux me relever mais votre pied m’empêche.Dans le même temps, vous me dites que ma position est parfaite. Vos pieds me poussez, me malaxez  comme une pâte à tarte. Tel le boulanger malaxe son pain avant de l’enfourner. Je tente de résister mais je suis à un moment vos pieds qui me poussent. Puis vous vous relevez,partez . En relevant vous me donnez un petit dans mon tucking. Et vous vous arrêtez la pour cette séance car l’heure avançant. Vous devez vous préparez pour un rendez-vous dans la soirée.
Je me relève, je range , mes affaires dont le draps, me rhabille en vous remerciant de cette Séance .
Et répondant positivement a votre question si j’avais eu ma dose.

Je tiens à vous remercier pour cette séance Maitresse. J’ai encore découvert des choses, dépasser mes limites. Vous m’avez fait un jeu de cire avec des bougies ordinaire. Je n’aurai jamais pensé pouvoir les tenir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire