mardi 14 mai 2013
Un samedi soir imprévu
Minuit, l’heure du c… ah non mon téléphone sonne.
« C’est Maitresse, j’ai un petit souci. Si tu veux, tu peux venir me rejoindre. Atika de Paris souhaiterais te rencontrer » « euh, bah, euh,… oui bon j’arrive … il faut que j’habille mais je ne serais pas maquillé » « Habille toi et viens alors » « Bien avez-vous une exigence pour la tenue ? » « Comme hier, en club, même lingerie, même tenue, non mets ta robe blanche et marron, tu es mignonne dedans. » « Bien Maitresse, je me prépare et je fais aussi vite que possible. » Je me suis préparé en 10 minutes, j’ai pris ma voiture et me voilà en route pour C & C .
Arrivé dans le quartier du club, les parkings fermés, je tourne pendant 25 minutes avant de prendre la décision de me garer sur une place de livraison. J’attrape mon sac à dos et pars en direction le club. Je sonne à la porte du club. Pascal m’ouvre, je me présente, il me fait un grand sourire. Etant tous les deux à l’accueil, je me change devant lui. Au revoir pantalon et chemise de male, lorsque j’enfile ma robe, j’entends crac … Oups, bon je crois que l’élastique vient de dire lui aussi au revoir. Je mets mes escarpins. Je descends les escaliers en perdant ma robe dont ma pauvre poitrine plate ne retient pas vraiment :’( .
Je vous vois avec vos amis sur le canapé devant l’escalier. J’arrive, je vous fais vous baise-main et à vos amies aussi. Puis je me place à vos pieds. Vous me racontez rapidement le pourquoi de ma venue. Je vois autour de votre cou, votre nouveau jouet, par sa couleur et sa matière il ressemble à un serpent. Autour de votre cou, il semble endormi mais sur le qui-vive tout de même. Puis vous me présentez-vous amies Maitresse Atika Paris et carrie Moss. Vous dites que je suis arrivé, nous allons pouvoir jouer, vous décidez avec vos amies d’aller dans la pièce à l’étage. Il avait un maitre qui installé un appareil de torture des seins sur sa soumise. J’avais un peu de mal a trouver le nom de ce jouet. Nous rassemblons nos sacs et affaires dans un coin de la pièce. Puis ensuite vous m’ordonnez de bouger le chevalet de travail en le placant contre le mur, afin que vous puissiez utiliser votre fouet plus aisément. Une fois le chevalet de travail contre le mur, je me mets contre lui. Le premier coup de fouet fut pour moi différent des autres que vous me donniez. Celui-ci, je le sens plus précis, plus direct, plus franc, plus lourd aussi. Vous me donnez quelques coups, Je sens que le fouet est neuf. Cela est différent, de plus ce soir, je dois montrer qui est liloo mais le vrai défi pour moi. C’est d’encaissé autant que la vieille alors que je sens une double douleur à chaque coups car ceux d’hier se font ressentir aussi. Apres un petit moment, vous faites retirer ma robe pour que le fouet claque mieux et ne sois plus freiner par ce tissu indésirable. Une autre salve de coup arrive, un premier constat me vient à l’esprit. Vous maitrisez votre fouet car les coups sont d’une précision je le ressens lorsque votre fouet vient caresser de la langue fourchue ma fesse gauche. Puis Vous vous arrêtez, vous passez la Main à Maitresse Atika. Au premier coup, je compris, que mon niveau était faible. J’avais encore à apprendre sur ma douleur. Maitresse Atika a de l’expérience dans les fouets, j’entends celui-ci tournoyé autour de sa tête avant de s’arrêter sur mes fesses. Certains coups me font broncher, je me plis mais me replace. J’aime cette douleur comme un fumeur sa cigarette. Maitresse Atika veut me voir à quatre pattes. Maitresse vous lui dite qu’il n’avait qu’a ordonné. Puis vous discutez du chevalet. Maitresse vous m’ordonnez de le mettre près du miroir afin d’avoir de la place pour le fouet. Ordre donné, ordre exécuté, tel est l’une des devises des Sissy. A ce moment, je m’installe sur le chevalet. Maitresse Atika m’ordonné de ne plus l’appeler Maitresse mais Mademoiselle. Je lui répondis « compris, Mademoiselle Atika ». Ensuite Mademoiselle Atika et vous m’attachez les pieds et les mains. Pour les mains il a des poignets de force sur le chevalet. Par contre il manque une sangle pour un pied, alors vous sortez vos cordes. Et vous m’encordez les pieds au chevalet de travail. Je ne peux plus bouguer mes pieds je suis immobilisé sur le chevalet cette fois ci. Mademoiselle Atika reprend le fouet, une salve de coups arrive plus fort, plus intense, plus violent. J’ai du mal à gère ma respiration, mon expiration. A plusieurs reprises vous me reprenez Maitresse, mais je n’y arrive pas, je ne comprends pas. Les larmes de honte montent en moi, je ne comprends plus, j’ai du mal tenir, mes coups d’hier se réveillent, ceux d’aujourd’hui me chauffent, me brulent. Puis d’un coup, mon corps prend la décision de s’exprimer, un son sort de ma gorge, de ma bouche un cri. Un CRI, je m’exprime, ma douleur s’exprime. J’expire par ce cri. J’ai toujours cru que le cri était douleur. Mais non il est libérateur de la douleur. Alors quand je ne gère plus ma respiration, je me laisse allez. Mademoiselle Atika s’arrête. Maitresse vous venez prêt de moi pour savoir si je vais bien. J’entends vos paroles, je les lis sur vos lèvres mais mon corps a dépassé mon esprit mon corps ne réponds pas, mon esprit vous dit, oui ça va, oui c’est chaud, oui c’est bon. Mon corps lui dit qu’il est toujours en transe. Là Maitresse, vous décidez de me cirer le dos, n’ayant pas de bougies avec vous. Vous attrapez une bougie du comptoir et vous l’allumez. Vous expliquez à Mademoiselle Atika et Carrie, que vous n’avez pas besoin d’acheter des bougies à basse température avec moi. Au même moment je sens la première goute sur mon dos. La cire me détend et vous le savez. Au bout d’une dizaine de minutes certainement aussi par manque de place. Vous vous arrêtez et la Mademoiselle Atika propose deux choix pour retirer la cire, le fouet ou …. Je réponds le fouet directement. Je reprends mes esprits, je sens des doigts qui tentent de me chatouiller. Mademoiselle Atika vous voit faire et viens de joindre à vous. Je me retiens, je me contracte. Mais je sens dans vos chatouilles, une conversation avec Bilbon. Je sens vos doigts tâter mes zones sensibles puis d’un coup je craque littéralement. C’est mon premier fou rire. Mademoiselle Atika me chatouille le côté gauche et vous le côté droit. D’un coup je me prends un coup de cravache bien placé sur les fesses qui me font un mal de chien une douleur beaucoup plus forte que le fouet. Mademoiselle Atika dit qu’elle sera absente au marathon donc il fallait bien m’entrainer.
Ce coup fut le premier d’une longue série mélange entre mes fou rires provoqué et les coups de cravache. A un moment, je ne savais plus si je devais rire ou pleurer car j’ai cru que j’allais pleurer. Impossible pour moi de gère les rire et la douleur en même temps, je suis submergé par ses deux sensation contradictoire. Je me tortille sur le chevalet au point de le faire bouger avec moi.
Puis vous arrêtez, me voyant ne pas répondre à vos paroles, vous m’appelez par mon préfixe de mal ben. Je reviens de suite, honteuse car je ne veux pas de ce nom lors de nos jeux mais vous connaissez mieux les jeux que moi. Vous êtes ma Maitresse à qui j’ai offert mon corps. Mademoiselle Atika demande à Carrie si elle veut se joindre à vous deux pour jouer avec Moi. Carrie préfère passer son tour pour cette fois ci. Ensuite, vous décidez me laisser souffler, respirer avant d’aller fumer une cigarette, vous me détachez. Je me laisse redescendre tranquillement pour être sur de tenir sur mes jambes. Je descends du chevalet. Vous m’ordonnez de me rhabiller et de vous retrouver au fumoir. Un peu abasourdit par ce jeu, je m’habille avec un peu de mal et surtout une robe qui ne tient plus vraiment. Je vous rejoins au fumoir, je pose mon sac au sol, et perds un peu l’équilibre ce qui vous fait sourire Maitresse. Mademoiselle Atika m’appelle la rejoins dans le fumoir, je m’accroupis comme toute sissy éduqué, au pied de sa maitresse ou aux pieds ces amies qui l’ont utilisé pour jouer. Mademoiselle Atika me pose cette question avec une réponse ouverte : « Alors tu en penses quoi ? Tu as eu peur ? » Ma réponse vous à toutes surprise : « oui, j’ai eu peur des chatouilles, car j’ai des réflexes. J’ai peur que ces reflexes blessent. Heureusement dans les jeux je suis attaché. Sinon les coups étaient puissants. C’est une expérience agréable. Je vous en remercie Mademoiselle. » J’avoue qu’être sur accroupit à ce moment précis est une aide car je ne sentais pas mes jambes me soutenir. Ensuite nous sommes redescendus un moment pour prendre un verre et discuter. Quand je dis-nous, c’est plutôt vous Mesdames qui discutaient, moi je suis resté au pied de maitresse, à redescendre encore. Je savourai ma séance, le chaud de mes fesses. Je sens mes fesses dessinées. Le parquet lui faire du bien à cette peau chaude.
Puis l’heure vient de partir et de rentrer chez soi. Le temps que vous changez, Mademoiselle Atika et Carrie partirent fumer une cigarette. Moi discrètement devant le comptoir de l’accueil, je remets mon pantalon et ma chemise. Je range mes affaires dans mon sac à dos. En sortant du fumoir, Mademoiselle Atika me cherche du regard, Vous lui montrez que je suis à vos côtés et que je ressemble un mec comme je suis là. Que mon aspect change complètement. Puis après une longue conversation devant le club avec pascal, nous nous sommes séparés pour rentrer chacune chez soi.
Je tiens à remercier Maitresse pour cette séance qui m’a encore appris des choses et de cette rencontre avec Mademoiselle Atika et Carrie. Je tiens à remercier notre hôte de la soirée Pascal pour sa gentillesse. Je tiens à remercier Mademoiselle Atika pour cette rencontre et aussi pour ce qu’elle m’a appris, le sens d’un cri et le plaisir d’être en ces mains, merci. Je tiens à remercier Carrie pour son sourire et cette rencontre.
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Merci à vous deux pour cette belle rencontre!
RépondreSupprimerPlaisir largement partagé, car vous êtes des personnes entières et vraies, trop rare dans ce milieu...
Sincèrement,
Maîtresse AtikA